Pour résumer:
Avec Momo, Jonathan Garnier et Rony Hotin recomposent le parfum inoubliable de l’enfance. « Hey le bon dieu ! Dis à mon papa qu’il faut qu’il rentre vite ! Et dis-lui que je lui fais des gros bécots ! Et mamy aussi, elle lui fait des bécots ! … Même si elle pique un peu… »Avec Momo, Jonathan Garnier et Rony Hotin recomposent le parfum inoubliable de l’enfance. Le temps des copains, des découvertes, des petites bêtises, des grands bonheurs et des gros chagrins. Le temps aussi d’un émerveillement constant que contrarient parfois les réalités du monde adulte.
Ce que j’en pense:
Quand j’ai regardé cette magnifique couverture, je me suis d’emblée sentie attirée par cette BD. Momo, son petit short, sa tignasse hirsute et surtout ses grands yeux… Je n’ai pu m’empêcher de me demander ce que cachait ce regard.
Momo est une petite fille qui vit avec sa grand- mère lorsque son père part en mer. Le scénario est très touchant. On découvre cette petite fille mal dans sa peau et qui a du mal à se sociabiliser. Un peu étrange aux yeux des autres enfants, Momo souffre de son image. L’intrigue nous fait suivre les pas de cette petite fille si émouvante. On ne peut que être émue par ce personnage que l’on a envie de prendre dans ses bras et de rassurer. Et que dire de la fin de ce tome? Elle relance complètement l’intrigue et ouvre tout un panel de possibilités pour le tome 2.
J’ai aimé le côté espiègle de Momo, sa fragilité, sa sensibilité. J’ai aimé cette grand- mère qui tente de faire que sa petite fille se sente bien dans sa peau. ce duo est tout en émotion et leur lien m’a énormément touché.
J’ai été surprise par le dessin au tout début de ma lecture. Mais, finalement, je me suis laissée séduire. C’est une véritable explosion de couleurs qui s’offre à nous. Les traits sont fins et délicats et rappellent par certains côtés le style de dessin des mangas.
Bref:
Un coup de cœur.
Si je devais le noter:
Un petit aperçu:
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