« C’est pour ça qu’il y a toujours deux pages blanches à la fin des atlas, intervint le pilote sans se départir de son sourire, c’est pour les nouveaux pays, comme ça, on peut en dessiner la carte soi-même. »
Le Bon Gros Géant, Roald Dahl
« C’est pour ça qu’il y a toujours deux pages blanches à la fin des atlas, intervint le pilote sans se départir de son sourire, c’est pour les nouveaux pays, comme ça, on peut en dessiner la carte soi-même. »
Le Bon Gros Géant, Roald Dahl