Vie animale de Justin Torres et Le chant des revenants de Jesmyn Ward laisseront une empreinte marquante dans ma vie de lectrice. Un de ces chocs comme on en reçoit un toutes les deux ou trois saisons littéraires. Alors, deux chocs coup sur coup? Je me sens privilégiée. Quelques points communs relient le roman de Torres et celui de Ward: un style fort et aventureux, la présence d’un couple mixte et d’enfants métis, une famille bringuebalante. Mais surtout, deux sublimes romans, d’une beauté déchirante.
Vie animale de Justin Torres et Le chant des revenants de Jesmyn Ward laisseront une empreinte marquante dans ma vie de lectrice. Un de ces chocs comme on en reçoit un toutes les deux ou trois saisons littéraires. Alors, deux chocs coup sur coup? Je me sens privilégiée. Quelques points communs relient le roman de Torres et celui de Ward: un style fort et aventureux, la présence d’un couple mixte et d’enfants métis, une famille bringuebalante. Mais surtout, deux sublimes romans, d’une beauté déchirante.