Sur le blog de La Booktillaise et sur le mien, vous pourrez retrouver un article un petit peu particulier.
J’avais voulu écrire le mien il y a déjà un moment, mais ce rendez-vous spécial Nisha et caetera est l’occasion parfaite pour – enfin – le publier.
Le 31 octobre 2018, mon premier roman, Game on, est sorti. Après un an d’écriture et de corrections, un contrat d’édition et encore un an de corrections et d’attente, j’ai enfin pu tenir mon bébé dans mes mains. Je n’avais jamais osé y croire, même alors que la couverture et le manuscrit finalisés étaient dans mes fichiers, tant que je ne l’ai pas eu avec moi. Et une fois que ça a été fait… eh bien, finalement, j’ai encore du mal à y croire.
Mon roman (j’ai encore du mal à croire que je peux écrire ça ^^) a été publié en deux saisons en numérique, puis en intégrale en format papier. C’est le premier roman auquel j’ai mis un point final et le voir publié est tellement incroyable. Je pensais sincèrement que ça resterait un rêve… mais il faut croire que non !
J’ai eu la chance de rencontrer des éditrices exceptionnelles, une community manager incroyable (Savannah, si tu passes par là, tu peux considérer ça comme ma déclaration) et toute une équipe qui oeuvre dans l’ombre pour que les romans passent du manuscrit à ceux qui se retrouvent dans vos bibliothèques.
En février, j’ai eu ma première séance de dédicace, et j’en garderai toujours un souvenir exceptionnel. L’écriture est, la plupart du temps, une passion solitaire, et le fait de pouvoir la partager avec des lecteurs rend l’exercice encore plus mémorable.
Après plusieurs mois, une dédicace, un exemplaire qui dort à côté de moi et un article, je n’arrive toujours pas à réaliser.
Un grand merci à tous les blogueurs qui m’ont offert des chroniques qui m’ont fait pleurer à tous les coups, je vous aime.
Elisa
Le petit résumé de ma romance pour adolescents qui a bien failli me tuer pendant le processus d’écriture :
Désormais orpheline et forcée d’habiter chez une tante qu’elle ne connait pas, Arielle s’est jurée de retrouver le chauffard inconnu responsable de la mort de ses parents. Or l’heure de la vengeance va sonner bien plus tôt que ce qu’elle pensait. Rongé par les remords, Matt quitte sa ville natale en laissant derrière lui ses vieux démons qui l’empêchent d’avancer. Mais la culpabilité ne vous laisse jamais vraiment en paix. Quand Arielle rencontre Matt, elle voit en lui tout ce qu’elle déteste : un garçon arrogant, trop sûr de lui, qui joue avec les filles. Alors c’est décidé, elle le fera payer pour tous les autres. Et s’il y avait plus à perdre qu’à gagner ? Que la partie commence