Je ne vous cache pas que ce roman, je l'ai terminé il y a environ 24h, il a fallu que je laisse un peu reposer mon esprit avant de pouvoir vous écrire mon avis, qui sera tellement fade si on le compare à ce que j'ai ressenti !
Si avec le résumé, je savais que ce serait une histoire plus que prenante, j'étais loin de la vérité, c'est plus que prenant, c'est carrément addictif, et d'une puissance ! Une puissance comme j'en ai rarement trouvée dans les romances MM. De plus, le sujet de base est peu représenté, peu importe le genre littéraire, rend ce récit tellement vivant !
Primo et Markus m'ont touchée beaucoup plus que je ne le pensais en débutant ma lecture. Imaginez la sensation d'un bonbon acidulé, vous avez en premier la partie acidulée, vient ensuite la partie plus sucrée, plus douce. Vous avez une parfaite représentation de ce duo, bien que la partie douce ne soit pas franchement bien choisie, mais c'est pour vous faire une idée de ce que ce duo peu donner.
Honnêtement, je suis curieuse de savoir le nombre d'heures que le duo d'auteure a passé dans le travail en amont, le travail de recherche et de documentation pour rendre ce récit si criant de vérité. J'en ai encore des frissons au moment de vous écrire cet avis. Je peux vous dire que je suis passée à un poil du coup de cœur, je ne saurais même pas dire ce qu'il me manque pour que ce soit le cas, j'ai tout adoré du début à la fin, que ce soit au niveau des émotions, du récit, des rebondissements. Tout, oui, tout y est, et pourtant ce n'est pas un coup de cœur, mais franchement pas loin.
Jäger est définitivement le roman que j'aime, que je relis sans hésiter, dont je parle autour de moi quitte à souler le monde, mais c'est également un roman qui doit se découvrir du début à la fin sans se faire spoiler. Avec Jagër, Amhéliie et Maryrhage ont fait fort, vachement fort. A part vous dire de foncer, de le déguster comme un grand vin, de la savourer comme un bonbon acidulé, tout ce que je pourrais dire d'autre ne rendrait pas justice à ce récit qui prend au tripes.
La traque est comme un second instinct, un autre souffle, un autre battement de cœur qui m'habite au plus profond. C'est comme s'il y avait deux personnes en moi. L'homme et le chasseur. Et bien souvent, c'est le dernier qui prend le contrôle du reste. C'est lui qui affronte tout.Merci à Ahméliie et Maryrhage pour leur confiance.