Difficile d'expliquer pourquoi j'aime autant son style, sa poésie parfois, car manie les mots avec beaucoup d'adresse. Il me surprend ici encore une fois, avec un roman plus fantastique, et surtout dur, très dur, bien que cette petite touche d'humanité qu'il instille à chaque fois dans ses histoires est toujours présente. Il parvient toujours à rendre son humanité à ses personnages, qui sont pourtant quelques fois de sacrés salopards. Il touche ici à un registre que je n'avais encre jamais lu chez lui, c'est donc avec étonnement tout d'abord, puis au fil des pages un engouement sauvage, que j'ai lu . Comme l'ont dit certains, un petit côté Stephen King, le patron du fantastique qui a influencé chaque auteur, chaque lecteur, mais avec le style, ces souvenirs racontés avec tant de cœur et de beauté dans le journal, cette gouaille hors du commun qu'il donne à l'univers gitan et qui m'a si souvent fait sourire. On reconnait donc la plume et en même temps elle nous surprend, comme à chaque fois et je pense que c'est ce qui est aussi incroyable et excitant à l'idée de débuter un livre de ou Cédric Veto, appelez-le comme bon vous semble, il reste le même.
Mag @maglivresque @livresque78
Bonne lecture.
Résumé: