De quoi ça parle ?
“Le livre. Une source de savoir, une accumulation de signes chargés de sens, un précieux héritage qui relie passé et futur. C’est un mage qui me l’a dit un jour : protéger les livres, c’est tout simplement… protéger le monde !”Pour le jeune Shio, qui passe son temps libre plongé dans les romans, les récits extraordinaires sont un refuge face à la brutalité du quotidien. Son rêve est de partir pour la capitale des livres, où sont rassemblées toutes les connaissances du monde. Un projet utopique pour un gamin sans ressources… jusqu’au jour où des envoyées de la fameuse bibliothèque centrale débarquent dans son village ! Le miracle qu’il appelle de ses vœux depuis si longtemps est-il sur le point de se réaliser ?Qu'est ce que j'en pense ?
Ce manga me tente depuis que j'ai appris son existence (c'est-à dire depuis sa sortie). C'est un peu normal car le thème principal du manga est quand-même un sujet qui me tient un cœur (et à vous aussi) car c'est celui de la lecture ! L'avis d'Etoile livresque m'a motivée à le lire. Et même si il ne renouvelle pas le coup de cœur que j'ai eu le mois dernier pour les mémoires de Vanitas (non non je ne viens pas de parler de ce manga pour la Xième fois non s'il vous plaît, ne partez pas) cela a tout de même été une très bonne lecture !Magus of the Library ça parle de quoi ? Alors, on suit Shio, un petit garçon qui comme toi, comme moi, comme vous, est passionné de lectures. Les livres lui permettent de vivre des aventures extraordinaires beaucoup plus excitantes que sa vie réelle. Car, pas de pot, Shio vit seul avec sa sœur qui travaille dans les champs pour qu'il puisse avoir accès à une éducation dans un quartier pauvre à l'écart de la ville, est martyrisé par ses camarades de classe à cause de ses oreilles pointues et a interdit d'avoir accès à la bibliothèque municipale car il est trop pauvre. Un jour, des envoyés de la bibliothèque centrale de la contrée, celle qui contient tout les ouvrages possibles et imaginables, arrivent dans son village et cette rencontre va bien pouvoir changer la vie de Shio.
On a aussi un univers magnifique. Je n'ai pas trop réussi à déterminer si c'était du fantastique ou de la Fantasy mais qu'est ce qu'on s'en fout ! L'auteure s'est inspirée de l’esthétique (paysages, habits) des pays du Moyen-Orient et c'est assez original ! L'univers contient quand-même une part de magie qui n'est pas plus développée que ça dans ce premier tome : il y a un personnage qui vole, des tapis volants ou encore des créatures fantastiques...
En conclusion ?
Un premier tome qui promet une suite encore meilleur. Le graphisme est très beau, les personnages attachants et l'histoire véhicule de beaux messages. Je vous le recommande, bande de lecteurs !
1878, la France fait rayonner sa puissance industrielle et culturelle en organisant des expositions universelles, tandis que le Japon s'ouvre au monde après 200 années d'isolationnisme. À Nagasaki, Miyo, orpheline qui a pour seul talent le don de clairvoyance au travers des objets qu'elle touche, parvient à trouver un emploi chez Ban, commercialisant des objets importés d'Europe. Au contact de l'Occident, elle découvrira un monde nouveau qui la conduira jusqu'à Paris…Qu'est ce que j'en pense ?
Ce manga s'est retrouvé entre mes mains totalement par hasard. Je n'en avais pas attendu parler, je ne savais pas de quoi il en retournait. Du coup, je me suis lancée dans ce manga sans trop savoir ce que j'allais en penser et je ressors de ma lecture subjuguée. J'ai adoré ! Cela n'a pas été un coup de cœur mais presque !Ce manga se déroule à la fin du XIXe siècle (^^) au Japon à Nagasaki (le nom de cette ville doit peut-être te dire quelque chose si tu n'es pas trop mauvais en histoire
Comme pour la précédente chronique, on va commencer par les dessins qui sont la seule raison pour laquelle ce livre n'a pas été un coup de cœur complet. Le trait est fin, délicat, il y a beaucoup de détails mais je ne le trouve pas exceptionnel non plu.
J'ai adoré l'aspect historique du roman. Si vous suivez mon blog depuis un certain temps, vous devez savoir que j'adore le XIXe siècle. Le fait est que je connais très bien ce qu'il se passe en Europe à cette époque, un peu en Amérique mais alors, dans les pays d'Orient, pfff... J'ai quand-même appris pas mal de trucs.Au fil des chapitres, Momotoshi dévoile des machines, des objets européens et c'est juste fascinant. C'est comme de regarder un magicien sortir successivement un lapin, une colombe et des papillons de son chapeau.J'ai beaucoup aimé les passages du manga nommé "Cabinet ohfTakahama" où l'auteur nous apporte des précisions sur l'objet évoqué dans le chapitre.
Mon appréciation :