Romain Maufront, alias Neyef, naît en 1984 et aurait préféré s’appeler N’guyen comme sa grand-mère. Il passe la majorité de son enfance en Allemagne où il commence à dessiner en recopiant les personnages de Dragon Ball. Après le lycée, il étudie quatre ans à l’école d’arts appliqués Pivaut de Nantes. Il collabore ensuite au fanzine Le Chakipu. Son univers est un mélange de vieux dessins animés, de monstres de S.F., d’Hawaï… Il aime ce qui est kitsch et étrange… Ses influences se tournent du côté de Mike Mignola (Hellboy), d’Eiichiro Oda (One Piece) et d’Alice au pays des merveilles (de Lewis Carroll).❯ RessentiCe premier tome de "Bayou Bastardise" me laisse mitigé dans mon ressenti final, en effet il y a du bon mais aussi des choses qui m'ont déroutées.Autant dire tout de suite ce qui m'a gêné, le scénario. Même si tout débute bien, ambiance lourde et moite, et que les premières pages captent vraiment le lecteur, au bout d'un petit moment on se perd, je n'ai pas compris la moitié du scénario, ni dans quelle direction j'étais porté. Le soucis c'est que dans ce genre d'histoire c'est un critère absolument indispensable. Heureusement les personnages déjantés et écorchés sont intéressants.Visuellement parlant c'est très bon, très très bon, j'ai adoré les dessins qui sont originaux et au trait assuré, la colorisation délavée qui va bien avec l'ambiance de la Louisiane, le lecteur ressent vraiment le style visuel du "Label 619" et ca c'est très positif.En conclusion, "Bayou Bastardise : Junk Joint" est un très bel album, d'une noirceur comme j'aime, mais il souffre d'un scénario complexe qui n'a pas su me donner envie de lire la suite.🆅🅴🆁🅳🅸🅲🆃
Romain Maufront, alias Neyef, naît en 1984 et aurait préféré s’appeler N’guyen comme sa grand-mère. Il passe la majorité de son enfance en Allemagne où il commence à dessiner en recopiant les personnages de Dragon Ball. Après le lycée, il étudie quatre ans à l’école d’arts appliqués Pivaut de Nantes. Il collabore ensuite au fanzine Le Chakipu. Son univers est un mélange de vieux dessins animés, de monstres de S.F., d’Hawaï… Il aime ce qui est kitsch et étrange… Ses influences se tournent du côté de Mike Mignola (Hellboy), d’Eiichiro Oda (One Piece) et d’Alice au pays des merveilles (de Lewis Carroll).❯ RessentiCe premier tome de "Bayou Bastardise" me laisse mitigé dans mon ressenti final, en effet il y a du bon mais aussi des choses qui m'ont déroutées.Autant dire tout de suite ce qui m'a gêné, le scénario. Même si tout débute bien, ambiance lourde et moite, et que les premières pages captent vraiment le lecteur, au bout d'un petit moment on se perd, je n'ai pas compris la moitié du scénario, ni dans quelle direction j'étais porté. Le soucis c'est que dans ce genre d'histoire c'est un critère absolument indispensable. Heureusement les personnages déjantés et écorchés sont intéressants.Visuellement parlant c'est très bon, très très bon, j'ai adoré les dessins qui sont originaux et au trait assuré, la colorisation délavée qui va bien avec l'ambiance de la Louisiane, le lecteur ressent vraiment le style visuel du "Label 619" et ca c'est très positif.En conclusion, "Bayou Bastardise : Junk Joint" est un très bel album, d'une noirceur comme j'aime, mais il souffre d'un scénario complexe qui n'a pas su me donner envie de lire la suite.🆅🅴🆁🅳🅸🅲🆃