Mes conclusions sur le meurtre:
J’ai reçu ce roman en service presse sans l’avoir demandé.
Dès le début je n’ai malheureusement pas accroché à l’histoire.
Le style de l’auteur est assez lourd. Les phrases sont souvent trop longues, certaines font même 4 ou 5 lignes. Selon moi c’est un peu trop...
Ce qui m’a aussi gênée c’est le choix des mots. Alain Gerber a cherché, selon moi, des mots qui ne font pas naturels. Certains mots ne sont, je pense, plus utilisés dans la vie courante.
Les idées sont assez simples, un groupe de soldats arrivent dans une ferme où la famille doit les accueillir contrainte forcée.
Le problème c’est qu’à cause du style lourd j’ai rapidement oublié le sujet principal pour me concentrer sur les mots de l’auteur et la compréhension des phrases…
Je pense qu’Alain Gerber aurait dû utiliser un style plus simple, des mots plus courants pour mettre en avant l’histoire, les personnages et les actions.
Concernant les descriptions c’est un peu le même problème. Il y en a mais elles sont perdues dans le style…
C’est vraiment cela qui m’a gênée. En général j’aime les phrases courtes où l’auteur cherche avant tout à créer une ambiance plutôt qu’à écrire dans un style plus travaillé. Une écriture fluide est tout de même plus agréable à lire qu’une écriture avec des mots recherchés et qui ne feront pas naturels…
Il n’y a pas vraiment de retournement de situation. La routine se met en place rapidement surtout que le livre est assez court.
On ne sait pas non plus (du moins je n’ai pas trouvé l’information) si l’histoire se déroule sur une journée ou sur plusieurs jours.
La fin est dans la lignée du roman…
Personnellement ce n’est pas un livre que j’ai apprécié mais je suis toujours curieuse de découvrir un nouvel auteur.
En résumé, je vous conseille de découvrir ce roman si vous ne connaissez pas encore cet auteur.
Vous faire un peu parler:
Connaissez-vous cet auteur ?
Avez-vous déjà lu ce roman ? Si oui, qu’en avez-vous pensé ?
Quel passage avez-vous le plus apprécié et pourquoi ?
Qu’avez-vous pensé de l’épilogue ?
La parole est à vous, chers enquêteurs !