De quoi ça parle ?
"Le monstre est en moi, et je suis le monstre."
SOLDAT. LÉGENDE. SOUVERAIN
Nikolai est roi de Ravka.
Surnommé l’Écorché, Nikolai est un héros de guerre.
Charismatique et visionnaire, c’est sur lui que reposent les espoirs de son peuple.
Pourtant le jeune homme cache un terrible secret.
Une malédiction. Une menace pour son pays.Nikolai est un monstre.
COMBATTRE OU NOURRIR SES DÉMONS ?
Nikolai devra trouver la réponse à cette question, s’il veut sauver son royaume… et son âme.*Article garanti sans spoil*
Qu'est-ce que j'en pense ?J'en ai parlé dans un tag récemment (enfin, façon de parler étant donné que cela doit faire près de 15 jours que je n'ai pas pointé le bout de mon nez)
Je précise avant de commencer ma chronique que, pour apprécier ce livre, il faut avoir lu Six of Crows et la trilogie Grisha. Car King of Scars se passe après ces deux séries et il y a des spoils de ce qui s'y est passé. Après, si vous avez lu au moins une des deux, et que vous voulez lire ce livre, faîtes ce que vous voulez mais sachez que vous ne comprendrez pas certaines petites références et risquez de vous faire spoiler si vous voulez les lire à l'avenir
Je veux aussi m'arrêter sur la sublimité absolue de cette édition. Vraiment les éditions Milan ont bien taffé. Non parce que SoC était pas mal, Grisha était très beau, Le Chant des Ronces était sublime mais alors là, on est de sur de l'or pur ! La couverture est dorée et brille de milles feux et il y a encore une carte à l'intérieur (tout aussi belle, y a pas tromperie sur la marchandise) et comme dirait Plouf, "les cartes, c'est trop biiiiiiien"
Bon, parlons de ce qui m'a plu dans le roman car vouiiiiiii, il y a des trucs bien chouettes quand-même. Je ne vais pas trop m'étaler sur l'univers qui est le même que celui des Six et des Grishas à savoir Le Grishaverse car je sens que mon amour pour lui est tellement fort que je vais déborder et commencer à parler de Six of Crows qui est tout simplement une base des bases des bases. Si tu ne l'as pas lu, je te le recommande vivement car il est juste parfait ! Sinon...
A toi de voir ! Je dis tu car je viens probablement de perdre tout mon lectorat (peut-être que vous étiez déjà parti après la révélation de ma hantise de la raclette ?)
Si vous ne le savez pas, bah sachez le : Leigh Bardugo a un réel don pour les personnages. Que cela soit principaux ou secondaires, elle les bichonnent é-nor-mé-ment ce qui fait qu'on a des personnalités complexes et denses devant nous et on aime ça ! On revoit Nina qui était déjà dans Six of Crows mais ce qui est intéressant, c'est qu'on la découvre sous un autre jour (après ce qui s'est passé à la fin du tome 2 de Six, on en attendait pas moins). Il y a le personnage de Zoya qui est une claque monumentale. Elle est badass, forte tête, grande gueule... mais elle est juste juste géniale quoi !!!!!!!!!!Est-ce que je suis encore en train de fangirliser ?
La réponse est ouiiiiiii !!!!!
Au niveau de l'intrigue, on a aussi des petites choses qui me chafouine. Bon, en vrai, je vais pas chier des galettes : l'intrigue est bien en vrai mais elle est bien pour un simple bouquin de fanservice. Pour moi, c'est pour cela que passe King of Scars alors que ce n'est pas ce qu'il a l'ambition d'être à savoir un premier tome d'une série du Grishaverse, univers bientôt adapté en série sur Netflix. Ca part un peu dans tous les sens et puis par moment, c'est vraiment long. Bon, je sais que le lycée me laisse davantage le temps de me taper des courses sur Mario Kart Tour entre deux heures que de me pauser pour lire un bouquin mais faut quand-même pas exagérer.
En conclusion ?
Un premier tome qui m'a un peu déçue. Malgré un univers parfait et des personnages parfaits, ça sent trop le fanservice avec un personnage principale juste effleuré et une intrigue longue qui part dans tout le sens. Mais un fin qui laisse présager des améliorations pour la suite ! Affaire à suivre...
Dîtes moi tout !!!!!!
Le mot de la fin ?
"Parce que tu as choisi cette route. Parce que ton roi a confiance en toi. Parce que tu es assez forte pour survivre à la chute."