❯ Description éditeur Ce récit autobiographique commence le 11 septembre 2001, à New York. L'auteur, Henrik Rehr, habite à 200 mètres du World Trade Center. Ce jour-là, comme tous les jours, sa femme Evelyn part au travail en emmenant leur fils aîné Dylan à l'école. Lui reste travailler à la maison en s'occupant de leur second enfant de deux ans. A 8h48, un premier avion s'abat sur l'une des Twins Towers... La suite appartient à l'histoire...
❯ À propos de l’auteur Henrik Rehr est un auteur de bande dessinée danois qui a travaillé dans de nombreux styles. Il est surtout connu pour son travail sur comic strip classique Ferdinand (1988-2006) et la série jeunesse Petzi (depuis 2006). Il a cependant également réalisé des bandes dessinées d'horreur, de guerre ou autobiographiques dans un style plus réaliste. (source : wiki)
❯ Ressenti J’ai lu « Mardi 11 septembre » le 11 septembre 2019 pour le devoir de mémoire de l’horreur qu'a été la destruction du World Trade Center. J’aime me remémorer les faits, en général par le biais de la lecture.
Ici c’est avec l’œil d’un dessinateur que nous vivons l’horreur, en dehors des tours mais dans le même quartier.
Nous sommes sur un récit qui parle surtout de la famille, femme, enfants, comment joindre ses proches, l’inquiétude, est ce que l’école du fils aîné a mis les enfants en sécurité, ce parce que tout est bloqué, on ne peut pas se déplacer dans les rues. L’incompréhension est totale.
J’ai beaucoup aimé les dessins en noir et blanc, bien que simples ils sont faciles à appréhender.
Cette lecture est une piqûre de rappel importante à mes yeux. Et dire qu’au collège de mon fils, ils n'ont pas abordé le sujet en classe, c’est aberrant car l’événement est si dur et grave que chaque 11 septembre, pour ma part, l’horreur refait surface, et qu’il ne faut surtout pas oublier.
🆅🅴🆁🅳🅸🅲🆃