Mitsuki Haruno a du mal à aller vers les autres, mais elle a décidé de prendre un nouveau départ en entrant au lycée. Pourtant, malgré ses efforts, elle n'arrive pas à se faire des amis aussi vite qu'elle le voudrait. Tandis qu'elle commence à désespérer, voilà qu'elle tombe sur les quatre membres les plus populaires du club de basket dans le café où elle travaille.

Je ne connaissais pas Anashin avant de commencer ma lecture de " Waiting for spring ". Et si j'ai relevé cliché durant ma lecture, car redondant dans l'univers du manga, Anashin a tout de même trouvé le moyen de me séduire avec ce premier tome plein de promesse sur la suite.

L'intrigue tourne autour de Mitsuki Haruno, une jeune fille réservée qui vient de changer d'école. Et si elle pensait se faire rapidement une place et s'intégrer dans un cercle d'amis, elle doit malheureusement admettre après 3 semaines, que les choses ne sont pas aussi faciles qu'elle l'avait espéré. Et c'est suite à un quiproquo qu'Haruno va se retrouver à fréquenter par hasard le quatuor de basketteur populaire du lycée. Quatre garçons tous plus jolis les uns que les autres et aux cœurs libres.

Comme je l'ai dit plus haut, il y a quelques clichés inévitables dans les shôjo, comme le harem (fait d'avoir un groupe de garçons qui gravite autour de la même fille et dont certains vont être attirés, voire finir par en tomber amoureux, entraînant un triangle amoureux dans la plupart des cas). Et je dois admettre que malgré cela, la mangaka est parvenue à m'entraîner dans son manga et au fil des pages et des graphismes très bien réalisés, j'ai fini par m'attacher à certains d'entre eux, comme Rui, Towa ou encore Haruno et apprécier ma lecture. Anashin de par son coup de crayon fin et expressif donne une vraie profondeur à ses personnages, que ce soit aussi bien dans l'expression des sentiments que les mimiques des personnages.

En somme, j'ai passé un très bon moment parmi tout un panel de personnages intéressants. Et je ne vais pas attendre pour lire le second tome et voir ou certaines relations vont mener.

On aime : les graphismes, le coup de crayon d'Anashin, les personnages, l'univers.

On aime moins : les clichés.