Décerné par un jury exclusivement féminin, le prix Femina a dévoilé ses différents lauréats ce mardi 5 novembre.
En catégorie "romans français", le prix Femina a choisi au premier tour Sylvain Prudhomme pour "Par les routes" (Gallimard, "L'Arbalète). Un roman qui traite de la force de l'amitié et du désir ainsi que du vertige devant la multitude des existences possibles, du désir de liberté qu'on a tous, des équilibres à constamment réinventer.
Le Femina étranger a élu dès le premier tour aussi Manuel Vilas pour "Ordesa" (traduit par Isabelle Gugnon, Sous-Sol). Une histoire universelle autour des liens de filiation.
Un prix Femina spécial a été remis pour l'ensemble de son œuvre à Edna O'Brien, dont le livre "Girl" (traduit de l'anglais par Aude de Saint-Loup et Pierre-Emmanuel Dauzat, Sabine Wespieser) figurait dans la dernière sélection étrangère. L'écrivaine irlandaise de 88 ans raconte l'arrivée d'une adolescente dans un camp de Boko Haram en Afrique, son évasion avec l'enfant qu'elle a eu de l'un de ses bourreaux, et son retour chez elle où elle doit affronter sa propre famille.
Le Femina essai a récompensé Emmanuelle Lambert pour "Giono, Furioso" (Stock). L'auteure, devenue intime de la vie de l'écrivain, imagine une rencontre entre la narratrice et l'écrivain, mort en 1970.
Une mention spéciale distingue "La fabrique du crétin digital: les dangers des écrans pour nos enfants" de Michel Desmurget (Seuil).
Le jury du prix Femina réunit Evelyne Bloch-Dano, Claire Gallois, Anne-Marie Garat, Paula Jacques, Christine Jordis, Camille Laurens présidente cette année, Mona Ozouf, Josyane Savigneau et Chantal Thomas.
En catégorie "romans français", le prix Femina a choisi au premier tour Sylvain Prudhomme pour "Par les routes" (Gallimard, "L'Arbalète). Un roman qui traite de la force de l'amitié et du désir ainsi que du vertige devant la multitude des existences possibles, du désir de liberté qu'on a tous, des équilibres à constamment réinventer.
Le Femina étranger a élu dès le premier tour aussi Manuel Vilas pour "Ordesa" (traduit par Isabelle Gugnon, Sous-Sol). Une histoire universelle autour des liens de filiation.
Un prix Femina spécial a été remis pour l'ensemble de son œuvre à Edna O'Brien, dont le livre "Girl" (traduit de l'anglais par Aude de Saint-Loup et Pierre-Emmanuel Dauzat, Sabine Wespieser) figurait dans la dernière sélection étrangère. L'écrivaine irlandaise de 88 ans raconte l'arrivée d'une adolescente dans un camp de Boko Haram en Afrique, son évasion avec l'enfant qu'elle a eu de l'un de ses bourreaux, et son retour chez elle où elle doit affronter sa propre famille.
Le Femina essai a récompensé Emmanuelle Lambert pour "Giono, Furioso" (Stock). L'auteure, devenue intime de la vie de l'écrivain, imagine une rencontre entre la narratrice et l'écrivain, mort en 1970.
Une mention spéciale distingue "La fabrique du crétin digital: les dangers des écrans pour nos enfants" de Michel Desmurget (Seuil).
Le jury du prix Femina réunit Evelyne Bloch-Dano, Claire Gallois, Anne-Marie Garat, Paula Jacques, Christine Jordis, Camille Laurens présidente cette année, Mona Ozouf, Josyane Savigneau et Chantal Thomas.