Le Top Ten Tuesday est un rendez-vous hebdomadaire dans lequel on liste notre top 10 selon le thème littéraire prédéfini. Ce rendez-vous a initialement été créé par The Broke and the Bookish et repris en français pour une 2e édition sur le blog Frogzine.
Voici mon top 10 : Les 10 romans que vous aimeriez lire qui sont dans un genre que vous lisez peu
Au Sri Lanka, l’ancien Ceylan, Shemlaheila est cueilleuse de thé dans une plantation. Depuis dix ans déjà, elle ploie sous les lourds sacs de feuilles de thé et sous le joug des contremaîtres, mais, à l’aube de ses vingt ans, la jeune femme a d’autres rêves. Elle est bien décidée à partir, à échapper à la condition de celles qui, dans les théiers et dans les maisons, sont au service des hommes. Elle ne sera pas cueilleuse de thé toute sa vie, comme sa mère, comme toutes ces femmes asservies qui n’ont d’autres horizons que les interminables rangées de théiers…
Du Sri Lanka à Londres, à la découverte d’un pays complètement différent du sien, Shemla va découvrir une autre culture, d’autres personnes et surtout d’autres envies. La cueilleuse de thé qu’elle a toujours été choisira-t-elle de revenir au pays, ou de se créer une nouvelle vie ?
Je n’ai pas l’habitude de lire beaucoup de romance contemporaine, plutôt historique, mais ce livre me fait de l’œil. Le Sri Lanka est un pays que je rêve visiter, et je suis une grande amatrice de thé. ça fait un beau combo, non !?
Daisy Jones & The Six… Le groupe de rock le plus mythique de tous les temps. Leurs concerts remplissaient les stades aux quatre coins de la planète et ils ont enflammé les nuits de toute une génération. De leurs débuts dans les bars miteux d’un Sunset Strip écrasé de soleil californien à la gloire, leur histoire est celle d’une ascension fulgurante. De l’euphorie qui vient avec le succès, des excitants qu’on prend pour entretenir la magie et des calmants qu’on avale pour essayer de dormir.
C’est l’histoire du rock’n roll. C’est aussi celle de Daisy Jones, l’icône ultime. Mais le 12 juillet 1979, après le plus mémorable des concerts, le groupe a éclaté. Personne n’a jamais su pourquoi… Jusqu’à aujourd’hui. Musiciens, fans, managers, amants, gardiens d’immeubles… Ils ont tous été les témoins de cette histoire… Mais quarante ans plus tard, chacun a sa propre version de la vérité.
Cet ovni littéraire, qui a enflammé les lecteurs des deux côtés de l’Atlantique, nous plonge avec frénésie au cœur d’une des périodes artistiques et sociales les plus exaltantes de notre époque !
Un nouveau roman contemporain, mais qui lie aussi la musique, parfait pour moi !
Après trois ans d’absence, un jeune homme révolté revient dans le Moscou patriarcal et corrompu de 1820. Il y retrouve Sofia Pavlovna, son premier amour, qui a beaucoup changé. Il a sans doute eu tort de revenir… L’œuvre unique d’Alexandre Griboïédov (1790-1829) est une pièce exceptionnelle : une peinture sans pitié non seulement de la société de son époque, mais aussi de l’aveuglement des jeunes gens généreux, épris de liberté, qui rêvaient de la changer. Cette comédie qui finit mal est une des œuvres les plus fortes et les plus noires du romantisme russe. Interdite du vivant de l’auteur, Du malheur d’avoir de l’esprit a été copiée des centaines de fois sitôt achevée, et a circulé en Russie bien avant sa première mise en scène, en 1861. Depuis, cette pièce n’a cessé d’être jouée, et on ne compte plus ses répliques passées en proverbe dans la langue courante.
Grande amatrice de théâtre, j’aimerais en lire plus. D’ailleurs si vous avez des conseils, je suis toute ouïe !
Maxime, sept ans, vit avec sa sœur et leur père à Moscou. Bientôt des transformations déconcertantes s’opèrent chez le petit garçon. De quel hôte est-il devenu la proie? Les « histoires inquiétantes » de ce recueil font évoluer des personnages poignants dans une Russie contemporaine sombre et absurde. Ici, un employé de bureau développe des sentiments troubles pour une denrée moisissant au fond d’un réfrigérateur. Là, un dresseur de chiens se réveille dans un train à côté d’une femme qu’il n’a jamais vue mais dit être son épouse, et qu’il devra apprendre à aimer… D’une plume extraordinairement poétique, « Je suis la reine » brouille les frontières entre réel et imaginaire et offre une représentation saisissante de la folie et de l’horreur quotidiennes.
Je connais assez peu l’histoire de la Russie, pourtant comme le Sri Lanka, c’est un pays que je rêve de visiter, surtout Saint-Pétersbourg. Ce livre a la particularité d’être un recueil de nouvelles, et avec une note de fantastique.
Suffragette avant l’heure, l’indomptable Charlotte Ellison contrarie les codes et manières victoriens et refuse de se laisser prendre aux badinages des jeunes filles de bonne famille et au rituel du tea o’clock. Revendiquant son droit à la curiosité, elle parcourt avec intérêt les colonnes interdites des journaux dans lesquels s’étalent les faits divers les plus sordides. Aussi bien le Londres des années 1880 n’a-t-il rien à envier à notre fin de siècle : le danger est partout au coin de la rue et les femmes en sont souvent la proie. Dans cette nouvelle série « victorienne », la téméraire Charlotte n’hésite pas à se lancer dans les enquêtes les plus périlleuses pour venir au secours du très séduisant inspecteur Thomas Pitt de Scotland Yard.
J’ai encore lu aucun des romans de Anne Perry, honte à moi ! Je lis assez peu de roman policier, enfin je commande tout juste avec les cosy mysteries. Mais par quelle saga de Anne Perry commencer, celle-ci il y a quand même 34 tomes ! Alors plutôt « Charlotte et Thomas Pitt », « Joseph et Matthew Reavley », ou « William Monk »?
L’univers de Neil Gaiman est nourri par les légendes nordiques. Il revient à ses sources et nous raconte enfin la grande saga des dieux scandinaves qui l’ont inspiré pour son chef d’oeuvre American Gods. De la genèse des neuf mondes au crépuscule des dieux et l’ère des hommes, ils reprennent vie : Odin, le plus puissant des dieux, sage, courageux et rusé ; Thor, son fils, incroyablement fort mais tumultueux ; Loki fils d’un géant et frère d’Odin, escroc et manipulateur inégalable… Fières, impulsives et passionnées, ces divinités mythiques nous livrent enfin ici leur passionnante – et très humaine – histoire
Les légendes n’ont toujours fascinées, et me fascinent encore. Pourtant je ne lis aucun livre qui leur sont consacré. En plus des Highlanders, j’aime beaucoup les Vikings, voici un livre qui me permettrait sûrement d’en savoir plus !
A l’autre bout du monde, vivait un jeune garçon bouthanais du nom de Détchèn, qui signifie en tibétain » Félicité de diamant « .
a l’égard de tous les êtres vivants, il montrait des qualités de générosité et de compassion exceptionnelles ; mais il grandissait comme les autres enfants de son village, au pied de l’Himalaya. puis un jour, son oncle vint le chercher et proposa de l’emmener à la Citadelle des Neiges.
Ainsi commença le voyage initiatique et spirituel qui, au cœur d’une nature grandiose, allait mener détchèn sur le chemin de l’Eveil.
Ce lieu sacré du bouddhisme, » si loin des hommes, si près des dieux « , vous ne le trouverez sur aucune carte, et pourtant il existe. Matthieu Ricard l’a réinventé pour ne pas troubler son infinie quiétude. Un conte empreint de sagesse et de poésie, qui parle à nos cœurs et nous ouvre les chemins de la sérénité.
Un conte qui nous emmène découvrir d’autres civilisations. Lire peut nous permettre de découvrir beaucoup de choses !
“Le livre. Une source de savoir, une accumulation de signes chargés de sens, un précieux héritage qui relie passé et futur. C’est un mage qui me l’a dit un jour : protéger les livres, c’est tout simplement… protéger le monde !” Pour le jeune Shio, qui passe son temps libre plongé dans les romans, les récits extraordinaires sont un refuge face à la brutalité du quotidien. Son rêve est de partir pour la capitale des livres, où sont rassemblées toutes les connaissances du monde. Un projet utopique pour un gamin sans ressources… jusqu’au jour où des envoyées de la fameuse bibliothèque centrale débarquent dans son village ! Le miracle qu’il appelle de ses vœux depuis si longtemps est-il sur le point de se réaliser ?
Je lis assez peu de manga, et pour tout vous dire, j’en suis qu’à ma deuxième saga avec « L’atelier des sorciers » Je compte bien enchaîner avec « The promised Neverland », et pourquoi pas celui-ci ensuite ! Justement avez vous des coups de cœurs à me recommander ?
À ces êtres qui ne m’ont jamais plu !
Poète dandy, Lord Byron (1788-1824) a écrit une œuvre empreinte de mélancolie. Mais aussi de rébellion. Mis au ban, par l’aristocratie à la suite de scandales, aussi bien publics que domestiques, il quitta l’Angleterre, se réfugia en Suisse puis en Italie. Mais il était alors déjà entré dans la légende, incarnant le romantique révolté par excellence. Son œuvre et sa vie ont remporté l’admiration de Shelley et de Goethe, et inspiré Delacroix et Berlioz.
Après le théâtre, place à la poésie ! Bah oui, j’adore ça, et j’en lis si peu.
Philip, sans la connaître, déteste cette femme que son cousin Ambroise, avec lequel il a toujours vécu étroitement uni dans leur beau domaine de Cornouailles, a épousée soudainement pendant un séjour en Italie. Quand Ambroise lui écrira qu’il soupçonne sa femme de vouloir l’empoisonner, Philip le croira d’emblée. Ambroise mort, il jure de le venger. Sa cousine, cependant, n’a rien de la femme qu’imagine Philip. Il ne tarde pas à s’éprendre d’elle, à bâtir follement un plan d’avenir pour finir par buter sur une réalité de cauchemar. Ce don du suspense psychologique, que le nombreux public de la célèbre romancière anglaise lui reconnaît dans chacune de ses œuvres, est particulièrement présent dans Ma cousine Rachel.
Puisqu’on lit jamais assez de classique, et que je n’ai pas encore eu l’occasion de découvrir la plume de Daphné Du Maurier ! Vous en avez un à me recommander à lire en premier, peut être ?
Et vous, quels sont les genres que vous lisez peu ?