Auteur: Bram Stoker
Lecteurs: Pierre-François Garel et Mélodie Richard
Genre: Fantastique
Plateforme d’écoute: Audible
Temps de lecture: 18h12
Description: Jonathan Harker, jeune notaire, est envoyé en Transylvanie pour rencontrer un client, le Comte Dracula, nouveau propriétaire d’un domaine à Londres. A son arrivée, il découvre un pays mystérieux et menaçant, dont les habitants se signent au nom de Dracula.
Malgré la bienveillance de son hôte, le jeune clerc ne peut qu’éprouver une angoisse grandissante.
Très vite, il se rend à la terrifiante évidence: il est prisonnier d’un homme qui n’est pas un homme. Et qui partira bientôt hanter les nuits de Londres…
Hello à tous!
On se retrouve aujourd’hui pour parler de ma dernière lecture audio: Dracula. Il va sans dire que je ne vais pas vous faire l’affront de vous résumer cette oeuvre on ne peut plus connue. Et pourtant c’est en l’écoutant que je me suis rendue compte que, si comme tout le monde, je connaissais l’histoire générale du comte transylvanien, je n’avais pas vraiment de connaissance sur l’histoire véritable de Bram Stoker. Dans un premier temps, dans ma grande ignorance je ne savais même pas que ce récit était composé de journaux, d’extrait de presse et de télégrammes.
J’étais très enthousiaste d’effectuer cette lecture au mois d’octobre. Un grand classique de vampire pile pour le mois d’Halloween, quoi de mieux? Après il faut tout de même dire que je me suis lancée dans la version intégrale qui ne dure pas moins de 18 heures en audio!
Pour être tout à fait honnête j’ai trouvé l’histoire un peu trop longue. Nombre de passages auraient pu être écourtés pour aller davantage droit au but et je pense que les versions abrégées corrigent cet aspect. L’écriture en soit n’est pas très difficile à comprendre mais franchement Bram… un peu nerf, que diable!
Au niveau de l’audio, j’ai apprécié d’avoir deux lecteurs: un homme et une femme, ce qui permettait d’avoir un plus grand contraste lors des passages au point de vue de Mina. Et, sans que je sache vraiment pourquoi, je trouvais les passages féminins plus « légers » que ceux avec la voix grave de l’homme qui m’a semblé plus lugubre.
Malheureusement cela n’a pas suffit à m’empêcher « d’écouter en diagonale ». C’est à dire que j’ai accéléré le débit de lecture pour aller plus vite et qu’en plus de cela, si parfois je décrochais un petit peu, je ne prenais pas la peine de revenir en arrière et je zappais le passage en question. Du moment que je comprenais globalement ce qu’il se passait, ça m’allait.
Finalement je suis contente d’avoir découvert la véritable histoire de Dracula, après… c’était vraiment trop long. Je comprends que le personnage soit resté LA référence vampirique par excellence mais tout comme pour Alice au pays des merveilles, je préfère l’univers qui s’est étendu autour de l’oeuvre, que l’oeuvre en elle-même.
Note: 6/10