Chaque semaine, nous vous proposons des critiques rapides des séries publiées par les autres éditeurs que nous suivons régulièrement. Cette semaine, on parle de Black Hammer/Justice League: Hammer of Justice!, Usagi Yojimbo et Seven Days.

Black Hammer/Justice League: Hammer of Justice! #5

Dark Horse * Par Jeff Lemire & Michael Walsh * $3.99
Conclusion de la mini-série de Jeff Lemire et Michael Walsh, et quelle conclusion ! Mxyzptlk a annoncé comment nos héros pourraient s'en sortir, mais il faut un gros sacrifice, notamment de Gail. On a tous ingrédients d'un numéro final super-héroïque, et c'est fait avec beaucoup de second degré par Lemire. Néanmoins, c'est impressionnant, grâce à Michael Walsh, en grand forme. On a des dernières pages assez chouettes, avec une belle camaraderie et un humour toujours aussi réussi. Et ça présage ... un suite ? On signe.

Usagi Yojimbo #6

IDW Publishing * Par Stan Sakai * $3.99
Cet épisode one-shot fête les 35 ans de la création de Stan Sakai permettant de découvrir comment Usagi est devenu Ronin, un samouraï sans maître, alors qu'il retourne sur la plaine d'Adashi, là où son maître est mort. Mais, il va croiser le chemin d'une vieille connaissance qui a bien changé. J'avoue, il s'agit d'un épisode qui fait certainement référence à des histoires passées, n'ayant pas tout lu, c'est pas évident à suivre même si on comprend l'ensemble de l'épisode.

Lion FoRGE COMICS

Seven Days #2

Lion Forge Comics * Par Gail Simone & José Luis * $3.99
Le crossover tient toutes ses promesses même si ce deuxième numéro met un peu de temps avant de vraiment démarrer. Il faut dire que Gail Simone doit introduire d'autres personnages à son histoire en pensant bien à les présenter à un potentiel nouveau lectorat. Ainsi, dans ce numéro, le duo de Superb rencontre Quincredible, Kino passe à l'action, et The Astonisher fait une entrée remarquée. Quand à la situation, elle commence à s'empirer et la jeune blogueuse Camilia commence à avoir un rôle plus important dans toute cette histoire. Franchement, cela n'a rien à envier aux crossovers du genre des Big Two.