Congés Mortels

Congés Mortels

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Auteur : Didier Fossey
Titre : Congés Mortels
Version :  numerique – Flamant noir édition  –
ISBN: 9791093363578
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4eme de couverture

Juillet 1936. Corbigny, dans la Nièvre.

Paul Perrin, alias « Le Bredin », un paysan, sillonne la campagne en quête de femmes qu’il agresse et tue. Peu cultivé, mais rusé, il échappe aux enquêtes de gendarmerie. La mobilisation de 1939 va lui éviter beaucoup d’ennuis…

Juillet 2006.

Un couple de randonneurs est retrouvé décapité sur un chemin, près de Clamecy, dans la Nièvre. L’une des victimes est le fils d’un magnat de la presse parisienne. Une autre femme disparait peu de temps après. L’affaire est confiée au commandant, Boris le Guenn, de la BAC parisienne, qui se rend sur place. Mais après quelques jours l’enquête ralentit. Les éléments trouvés ne correspondent à rien. C’est alors que Boris rencontre Fernand, l’ancien du village, celui qui perd la tête. Le vieil homme lui assure que « Le Bredin » est revenu et qu’il est le meurtrier. Le commandant va tenter d’établir un lien entre le passé sombre de la France de 1940 et l’affaire actuelle, sans imaginer jusqu’où cette enquête hors de Paris le mènera.

Et si les propos du vieillard avaient un sens ?

Mon résumé

Le fils d’un riche homme d’affaire et sa compagne sont sauvagement assassinés. Ils sont retrouvés  dans la foret de Corbigny (Nièvre), les premières constatations sont accablantes : ils ont été décapités. Le père de la victime va tout faire afin que la lumiere soit faite sur la mort de son fils. Il va faire jouer ses relations afin que la BAC apporte leur soutien à la gendarmerie locale.

C’est bien sur Boris LE guen et son équipe au sein du 36 qui se charge de l’affaire. Les pistes récoltés jusque la s’avère sans issus. Boris décide de se rendre sur place et mener ses propres investigations.

Très vite, il va rencontrer un vieux paysan, Fernand Larue, qui va lui evoquer plusieurs crimes commis 70 ans plus tôt par Paul Perrin, dit Le Bredin. N’ayant pas de réelles pistes, Le Guen se dit qu’âpres tout faute de mieux, autant suivre cette piste, et puis après tout ça mange pas de pain….

Mon avis

C’est un plaisir de retrouver la plume de Didier Fossey. Certes j’en enchaîne deux coup sur coup mais c’est un vrai plaisir. Ecriture fluide, sans fioriture et on ne s’ennuie pas. Ça serait un vrai plaisir de le rencontrer a nouveau.