Les esclaves sont devenus les maîtres.
La République d’Obédience est née.
Six destins se croisent et se brisent comme des chaînes dans ce roman aux personnages complexes et humains. Un récit d’aventure puissant, poignant et addictif sur la liberté et la lutte pour ses idéaux.
Alors oui, cette fois-ci, je vous épargne le résumé car franchement, c'est un peu complexe ! Je dévoilerais des petits elements par ci par là dans ma chronique mais vraiment, le mieux est de ne rien savoir (je vous expliquerai pourquoi plus tard). Quoiqu'il en soit, j'ai beaucoup aimé ce bouquin (même si moins que Les sœurs carmines) !
Ce choix de l'auteur n'est pas sans conséquences. Le lecteur (du moins, ma personne) est un peu paumé ou entièrement largué au début. Car te balancer dans une histoire sans te donner d'infos, c'est te jeter dans une piscine sans que tu saches nager. Si tu te demandes, "mais pourquoi cette métaphore ?", eh bien il y a une raison. Car, en t'accrochant
PS : D'ailleurs je compte lire Fingus Malister, le roman jeunesse de Ariel Holzl ! Vous validez ?
Avez-vous lu ce livre ? Vous tente t-il ?
Je vous souhaite une belle fin de semaine et vous souhaite de belles lectures !
Le mot de la fin ?
"Mes tourments sont mes maîtres : je les rejette. Mes souvenirs sont ma prison : je m'en libère. Mes regrets sont mes liens : je les brise. Mon corps est ma lame : je l'aiguise. Jamais plus serviteur, jamais plus prisonnier, jamais plus esclave ! Jamais plus !"