Ella Harper est une battante, une éternelle optimiste. Elle a passé sa vie à déménager de ville en ville pour suivre sa mère, à avoir des fins de mois difficiles et à penser qu'un jour elles allaient s'en sortir. Mais quand sa mère meurt, elle se retrouve seule au monde...
Jusqu'au jour où Callum Royal apparaît dans sa vie. Finis la galère et le club de strip-tease pour payer ses études. La voilà dans le grandiose manoir des Royal. De l'argent, du luxe du confort...
Et... les cinq fils de Callum.
Tous la détestent, tous sont désespérément attirants. Le plus charismatique d'entre eux, Reed Royal, est celui qui est le plus déterminé à la renvoyer là où il pense qu'est sa place, dans un monde de dénuement qu'elle n'aurait jamais dû quitter. Il ne veut pas d'elle dans sa vie. Il ne veut pas lui faire une place dans le petit monde huppé des Royal.
Et s'il avait raison ?
Argent, excès, tromperies, faux-semblants. Tout un univers qu'Ella découvre avec stupeur. Si elle veut survivre dans le royaume des Royal, il va falloir qu'elle apprenne à édicter ses propres règles royales.
Fille d'un légiste renommé, Libby Shaw ambitionne de devenir chirurgien. Or, en 1825, les femmes ne sont pas admises à la faculté. Qu'à cela ne tienne, Libby décide de se déguiser en homme pour assister aux cours. Il lui faut toutefois un complice et elle n'a qu'une personne vers qui se tourner : Ibrahim Kent, un jeune portraitiste qu'elle supplie de bien vouloir l'aider. D'abord réticent, Ibrahim accepte de lui dessiner des planches anatomiques et même de l'héberger. En contrepartie, elle devra poser pour lui. Sous son regard de braise, la jeune femme va vite découvrir que la médecine n'est pas sa seule passion...
Il existe un pays où les gens ne parlent presque pas. Dans cet étrange pays, il faut acheter les mots et les avaler pour pouvoir les prononcer. Le petit Philéas a besoin de mots pour ouvrir son cour à la jolie Cybelle. Mais lesquels choisir ? Car, pour tout ce qu'il a envie de dire à Cybelle, il y en a pour une fortune ! Il ne faut pas se tromper.
Un texte poétique d'Agnès de Lestrade, illustré avec talent et fantaisie par Valeria Docampo. Un régal pour les yeux et les oreilles ! Une ode à la magie des mots et une très belle histoire d'amour.
Lady Philippa est... bizarre.
La brillante fille à lunettes d'un double marquis prêt davantage attention aux livres qu'aux bals, aux sciences qu'aux Saisons, et aux laboratoires qu'à l'amour. Elle est impatiente d'épouser son simplet de fiancé et de vivre une vie tranquille avec ses chiens et ses expériences scientifiques. Mais avant, Pippa a deux semaines pour expérimenter tout le reste - quatorze jours pour faire des recherches sur les plaisirs de la vie. Ce n'est pas beaucoup, et pour être efficace, elle a besoin d'un expert sur les recoins obscures de Londres.
Elle a besoin d'un... vaurien.
Elle a besoin de Cross, l'associé intelligent et réservé du club de jeux le plus fermé de Londres, qui a la réputation d'être le plus dissolu des mauvais garçons. Mais les réputations cachent souvent les secrets les plus obscures, et lorsque l'excentrique Pippa lui fait une proposition audacieuse, au nom de la science, mais sans les émotions, elle menace tout ce qu'il tente de protéger. Accéder à la demande de Pippa le tente beaucoup... mais le vaurien est plus que ce qu'il laisse paraître, et il devra faire appel à toute les forces de sa volonté pour résister à la jeune femme et ne pas lui donner plus que ce qu'elle a jamais imaginé.
L'avenir de Sigal, destinée à transmettre le Savoir, semblait tout tracé avant que sa sœur ne fasse une chute fatale. Contrainte de prendre sa place au cœur de l'Essaim, le bras armé de la cité, la jeune femme de 18 ans est propulsée dans un univers impitoyable et lutte chaque jour pour se montrer à la hauteur de sa mission.
Lors d'une ronde, le destin met sur sa route un inconnu dont la présence sur le territoire est sans doute illégale. La LOI voudrait qu'elle le dénonce, voire qu'elle le tue. Or, pour une raison obscure, Sigal n'est pas certaine de pouvoir s'y résoudre. Et cela pourrait lui valoir de très gros ennuis...
Wolfe estimait avoir pensé sa vengeance jusque dans les moindres détails. Mais il a sans doute sous-estimé Francesca et les sentiments qu'elle lui inspire.