Pour résumer:
Que fait un bébé éléphant dans la salade ? Quels sont les ingrédients pour s’assurer un horrible voyage en TGV ? L’Inde ou le
Yémen, quel pays visiter pour pouvoir mieux frimer ? On découvre sous un angle inédit, à la sauce Fabcaro, la rentrée littéraire, la rentrée sociale, l’alimentation bio, la radicalisation, tout ce qui fait notre quotidien, qui deviendra bien plus supportable et léger après la lecture du livre.
Ce que j’en pense:
Fabcaro ou l’art de mettre en lumière les situations les plus absurdes de la vie quotidienne. Alors, on aime ou on n’aime pas, en tout cas, moi j’adore!
Chaque planche peut se lire individuellement et décrit donc une situation où l’absurde est de rigueur. Le regard de Fabcaro est impitoyable et, avec humour, il met en lumière des situations du quotidien. L’air de rien, tout le monde en prend pour son grade: les politiques, le monde des médias, les bobos écolos…
Le trait de Fabcaro reste épuré. Les traits sont fins et il n’y en a aucun décor. Les personnages n’ont aucun visage et sont donc peu expressif ce qui rajoute au côté absurde. Les dialogues sont finement ciselés. C’est un véritable délice!
Bref:
Fabcaro fait mouche, comme à chaque fois.
Si je devais le noter:
Un petit aperçu:
Cette semaine chez