« Est-ce que ça ressemble à ça, la vie ? À cette sensation de devoir sauter dans le vide, sans trop savoir où on va ? »
Bon, ok ! J‘ai une fois encore été faible, parce que j’ai acheté ce livre uniquement pour la couverture ! Oui, oui ! Je l’ai trouvé tellement belle que je me suis laissé emporter et j’avais eu l’envie de croire que l’histoire était celle d’une merveilleuse histoire d’amour entre deux ados pendant les grandes vacances !
Mais je me suis trompée… Enfin, je me suis trompée, oui et non ! Oui et non ! Non, parce que l’histoire d’amour vient, mais à la toute fin… Oui, parce que, justement, l’histoire d’amour ne vient qu’à la toute fin ! Haha, vous sentez la contradiction ???
Bon, alors, c’est une lecture sympathique, hein, je ne dis pas le contraire ! J’ai passé un très bon moment et je l’ai lu assez vite, d’ailleurs, en une journée, le livre était plié. Personnellement, je n’aurais pas appelé le livre comme ça, étant donné que l’histoire d’amour ne vient qu’à la fin, c’est pas ce que j’appelle « être en émois », il n’y avait pas de trouble amoureux particulier…
Vous le savez, j’aime bien les chapitres où « un chapitre = un personnage » et dans ce livre, il y avait ça, sauf que le chapitre où Jeanne ne parlait, c’était un garçon – un garçon qu’elle connaît de surcroît – Je sais pas trop expliquer, mais du coup, quand c’était le garçon aka Kévin, il n’avait pas de prénom et genre les phrases ce n’était pas « Kévin était en colère » ou quoi mais tout le temps « Il », et je ne sais pas comment interpréter ce fameux « Il »… Pourquoi, prendre autant de distance avec les sentiments et les émotions d’un personnage ? Alors que l’on le connaît et qu’il nous raconte son histoire… Je n’ai pas très bien compris, et j’avoue, ça m’a gâché mon plaisir.
Ma note 3/5