Bonjour à tous, je vous retrouve aujourd'hui pour vous présenter en Interview Charlène Gros-Piron dont j'ai déjà lu le masque du silence et Projet Espoir, tome 1 : Touchée (vous pouvez retrouver les chroniques en cliquant sur les liens).
![[Interview]Charlène Gros-Piron](https://media.paperblog.fr/i/908/9081407/interviewcharlene-gros-piron-L-95qMSJ.jpeg "[Interview]Charlène Gros-Piron")
![[Interview]Charlène Gros-Piron](https://media.paperblog.fr/i/908/9081407/interviewcharlene-gros-piron-L-23m_P5.jpeg "[Interview]Charlène Gros-Piron")
Bonjour Charlène, je suis ravie que tu acceptes de répondre à mes questions.
Bonjour Zélie, bonjour à tous ! Merci à toi de cette charmante interview !
1°) Est-ce que tu peux te présenter à mes lecteurs ?
Je m’appelle donc Charlène Gros-Piron, je suis diplômée en éducation spéciale, mais je travaille depuis peu dans le domaine de la petite enfance. J’habite près de la frontière suisse, juste à côté de Genève, mais je suis française. J’écris des romans depuis que j’ai 12-13 ans, ce qui a donné plusieurs séries de fantastique et une romance contemporaine. J’écris pour faire rêver, pour faire passer des messages qui me tiennent à cœur, et j’aime le faire avec une bonne tasse de thé et mon chat Mushu roulé en boule près de moi.
2°) Trois qualités ? Trois défauts ?
Alors… je suis souriante, enjouée et déterminée, mais je suis pointilleuse, un peu têtue et très sensible (entre autres, hein !).
3°) Peux-tu nous parler de tes romans ? Quelques mots sur chacun d’eux ?
Préparez-vous, ça va être long ! *remonte ses manches*J’ai écrit pas mal de choses depuis mes débuts (on s’en doute !).Il y a Projet Espoir, qui est une série en 4 tomes, à propos de Daphné, une Chasseuse d’Obscurs qui va voir le fonctionnement de son monde déraper et qui va occuper une place de choix pour essayer de rétablir la balance entre le Bien et le Mal. Sale caractère, bastons, course-poursuites mais aussi émotions, humour et romance sont au rendez-vous ! Seul le premier tome est sorti actuellement. Le tome 2 arrivera sans doute bientôt !Il y a aussi Le Masque du Silence, une série que je viens de publier en intégrale. Elle comporte deux tomes, un spin-off et deux nouvelles à propos d’Hélène, qui est une jeune femme issue d’une famille d’enchanteurs maudite. Elle va recevoir un peu malgré elle lamagie, et va devoir porter un masque qui la rendra muette jusqu’à ce que l’homme de sa vie vienne lui retirer. Entre autres complications, elle va vivre de mémorables moments avec son chat garde du corps Fasolasi !Ensuite, il y a Si tu me retiens, qui est à ce jour mon unique romance contemporaine. A l’exception des deux séries mentionnées ci-dessus, qui sont publiées en auto-édition, elle est publiée chez So Romance, une maison belge. C’est l’histoire de deux romanciers – Rose et Blaise – qui ne peuvent plus s’encadrer depuis 4 ans, mais qui vont devoir écrire un roman à quatre mains ensemble. Leur attirance indéniable donnera quelques étincelles… mais parviendront-ils à passer outre ce qui les a divisés ?Enfin, il y a Les Originels, une trilogie que j’avais publiée dans mes deux précédentes maisons et que je compte retravailler de fond en comble pour la rééditer dans une intégrale, elle aussi en auto-édition. Cette trilogie se centre autour d’une poignée d’adolescents qui vont recevoir les pouvoirs primaires de la Terre, se coltiner tous les ennuis qui peuvent découler de ça et accomplir la mission pour laquelle ils ont été choisis.Il y a bien sûr d’autres projets sous le coude, mais ça en fait déjà pas mal !
4°) Comme j’ai déjà lu Le masque du silence (dont vous pouvez retrouver la chronique par ici), est-ce que tu peux nous expliquer comment t’es venu l’idée de ce roman ? Je suis curieuse.
Tu n’es pas la première à me poser cette question et cela me fait sourire. En fait, tout est un assemblage d’idées qui me plaisaient, quand j’ai décidé de me consacrer à cette histoire (j’avais alors 17 ans, quelle jeunette !). D’abord, j’ai toujours rêvé d’avoir un chat qui parle à la maison. Un peu un Salem (les fans de la première version de Sabrina, l’apprentie sorcière, me comprendront) mais plus actif, et purement chat, pas humain transformé. Ensuite, je suis une grande fan des masques vénitiens (et des éventails, en passant), mais j’ai toujours eu un problème assez simple : le masque ne tient jamais sur mon nez ! Alors je me suis demandé comment on pourrait faire pour faire tenir un masque perpétuellement. Il faudrait de la glue ou de la magie. Et si on ne pouvait plus le retirer ? Pourquoi d’ailleurs voudrait-on faire tenir un masque avec de la magie ? Et si ça rendait la nana muette ? Mon idée était partie. Hélène était née, elle serait une enchanteresse maudite devant porter un masque qui la rendrait muette jusqu’à ce qu’un prince charmant vienne le lui ôter. Parce que oui, je suis terriblement romantique !
5°) As-tu un rituel d’écriture ? Café, thé, le matin, le soir, sur ordinateur ou papier ?
Je n’ai pas réellement de rituel, actuellement. J’écris quand je le sens. Je n’écris plus pour m’évader d’une vie que j’avais du mal à supporter. Je le fais pour véhiculer des messages et pour le pur plaisir d’aligner des mots. Pour Projet Espoir, j’ai dû tout faire sur ordinateur, parce que le rythme de la narration était si accentué que j’avais besoin d’aller vite aussi pour retranscrire mes idées. Comme je tape vite, cela a coulé de source. Pour Respire, mon projet actuel, je préfère le papier, même si j’ai commencé sur ordinateur. Cela m’aide à me poser, à respirer (aha) et à vraiment m’immerger. Cela dépend de ce que je souhaite véhiculer, en fait. J’écoute souvent de la musique afin de m’aider à m’imprégner de l’ambiance, des ressentis. Pour donner du rythme à ma narration, aussi.
6°) Qu’aimes-tu dans l’écriture ? Faire passer des messages, inventer un nouvel univers ou des personnages atypiques ?
Comme je l’ai dit plus haut, j’écris essentiellement pour faire passer des messages qui me sont importants. Je pense que c’est vital dans notre société actuelle, et que cela ne peut pas faire de mal. Les gens ont besoin de rêver, mais de rêver en réfléchissant. Lire, c’est s’oublier pour se redécouvrir, pour ressortir plus fort, pour apprendre. J’espère en tout cas que mes lecteurs expérimentent ceci en me lisant ! Mais au-delà de ça, j’aime trouver le bon angle de narration pour permettre à la psychologie de mes personnages de s’exprimer le plus justement possible, j’aime jouer avec les mots pour créer une ambiance, créer une intimité avec le lecteur… c’est fou ce qu’on peut réussir à faire avec des mots ! Mais j’aime aussi déployer la psychologie des personnages, les suivre dans leurs épreuves ou leurs joies… encore une fois, tout est si riche dans l’écriture ! J’avoue aussi que j’aime bien surprendre mon lecteur (ou ma lectrice), le tenir en haleine… un bon livre aide souvent à voir le monde avec plus de recul. Quand on arrive à se détacher de nos soucis un moment, on y voit plus clair. C’est reculer pour mieux sauter !
7°) Un dernier mot pour le lecteur qui découvre tes romans.
Bienvenue et enchantée ! Si tu décides de laisser sa chance à mes héros de papier, merci beaucoup ! Et à tous ceux qui me connaissent ou ceux qui ne me connaissent pas encore, sachez que l’espérance et l’amour sont la clef de tout. Aimez, espérez, et le monde est à vous !
Merci à Charlène pour cet interview, je vous invite à aller découvrir ses romans.
-Zélie-
Bonjour Charlène, je suis ravie que tu acceptes de répondre à mes questions.
Bonjour Zélie, bonjour à tous ! Merci à toi de cette charmante interview !
1°) Est-ce que tu peux te présenter à mes lecteurs ?
Je m’appelle donc Charlène Gros-Piron, je suis diplômée en éducation spéciale, mais je travaille depuis peu dans le domaine de la petite enfance. J’habite près de la frontière suisse, juste à côté de Genève, mais je suis française. J’écris des romans depuis que j’ai 12-13 ans, ce qui a donné plusieurs séries de fantastique et une romance contemporaine. J’écris pour faire rêver, pour faire passer des messages qui me tiennent à cœur, et j’aime le faire avec une bonne tasse de thé et mon chat Mushu roulé en boule près de moi.
2°) Trois qualités ? Trois défauts ?
Alors… je suis souriante, enjouée et déterminée, mais je suis pointilleuse, un peu têtue et très sensible (entre autres, hein !).
3°) Peux-tu nous parler de tes romans ? Quelques mots sur chacun d’eux ?
Préparez-vous, ça va être long ! *remonte ses manches*J’ai écrit pas mal de choses depuis mes débuts (on s’en doute !).Il y a Projet Espoir, qui est une série en 4 tomes, à propos de Daphné, une Chasseuse d’Obscurs qui va voir le fonctionnement de son monde déraper et qui va occuper une place de choix pour essayer de rétablir la balance entre le Bien et le Mal. Sale caractère, bastons, course-poursuites mais aussi émotions, humour et romance sont au rendez-vous ! Seul le premier tome est sorti actuellement. Le tome 2 arrivera sans doute bientôt !Il y a aussi Le Masque du Silence, une série que je viens de publier en intégrale. Elle comporte deux tomes, un spin-off et deux nouvelles à propos d’Hélène, qui est une jeune femme issue d’une famille d’enchanteurs maudite. Elle va recevoir un peu malgré elle lamagie, et va devoir porter un masque qui la rendra muette jusqu’à ce que l’homme de sa vie vienne lui retirer. Entre autres complications, elle va vivre de mémorables moments avec son chat garde du corps Fasolasi !Ensuite, il y a Si tu me retiens, qui est à ce jour mon unique romance contemporaine. A l’exception des deux séries mentionnées ci-dessus, qui sont publiées en auto-édition, elle est publiée chez So Romance, une maison belge. C’est l’histoire de deux romanciers – Rose et Blaise – qui ne peuvent plus s’encadrer depuis 4 ans, mais qui vont devoir écrire un roman à quatre mains ensemble. Leur attirance indéniable donnera quelques étincelles… mais parviendront-ils à passer outre ce qui les a divisés ?Enfin, il y a Les Originels, une trilogie que j’avais publiée dans mes deux précédentes maisons et que je compte retravailler de fond en comble pour la rééditer dans une intégrale, elle aussi en auto-édition. Cette trilogie se centre autour d’une poignée d’adolescents qui vont recevoir les pouvoirs primaires de la Terre, se coltiner tous les ennuis qui peuvent découler de ça et accomplir la mission pour laquelle ils ont été choisis.Il y a bien sûr d’autres projets sous le coude, mais ça en fait déjà pas mal !
4°) Comme j’ai déjà lu Le masque du silence (dont vous pouvez retrouver la chronique par ici), est-ce que tu peux nous expliquer comment t’es venu l’idée de ce roman ? Je suis curieuse.
Tu n’es pas la première à me poser cette question et cela me fait sourire. En fait, tout est un assemblage d’idées qui me plaisaient, quand j’ai décidé de me consacrer à cette histoire (j’avais alors 17 ans, quelle jeunette !). D’abord, j’ai toujours rêvé d’avoir un chat qui parle à la maison. Un peu un Salem (les fans de la première version de Sabrina, l’apprentie sorcière, me comprendront) mais plus actif, et purement chat, pas humain transformé. Ensuite, je suis une grande fan des masques vénitiens (et des éventails, en passant), mais j’ai toujours eu un problème assez simple : le masque ne tient jamais sur mon nez ! Alors je me suis demandé comment on pourrait faire pour faire tenir un masque perpétuellement. Il faudrait de la glue ou de la magie. Et si on ne pouvait plus le retirer ? Pourquoi d’ailleurs voudrait-on faire tenir un masque avec de la magie ? Et si ça rendait la nana muette ? Mon idée était partie. Hélène était née, elle serait une enchanteresse maudite devant porter un masque qui la rendrait muette jusqu’à ce qu’un prince charmant vienne le lui ôter. Parce que oui, je suis terriblement romantique !
5°) As-tu un rituel d’écriture ? Café, thé, le matin, le soir, sur ordinateur ou papier ?
Je n’ai pas réellement de rituel, actuellement. J’écris quand je le sens. Je n’écris plus pour m’évader d’une vie que j’avais du mal à supporter. Je le fais pour véhiculer des messages et pour le pur plaisir d’aligner des mots. Pour Projet Espoir, j’ai dû tout faire sur ordinateur, parce que le rythme de la narration était si accentué que j’avais besoin d’aller vite aussi pour retranscrire mes idées. Comme je tape vite, cela a coulé de source. Pour Respire, mon projet actuel, je préfère le papier, même si j’ai commencé sur ordinateur. Cela m’aide à me poser, à respirer (aha) et à vraiment m’immerger. Cela dépend de ce que je souhaite véhiculer, en fait. J’écoute souvent de la musique afin de m’aider à m’imprégner de l’ambiance, des ressentis. Pour donner du rythme à ma narration, aussi.
6°) Qu’aimes-tu dans l’écriture ? Faire passer des messages, inventer un nouvel univers ou des personnages atypiques ?
Comme je l’ai dit plus haut, j’écris essentiellement pour faire passer des messages qui me sont importants. Je pense que c’est vital dans notre société actuelle, et que cela ne peut pas faire de mal. Les gens ont besoin de rêver, mais de rêver en réfléchissant. Lire, c’est s’oublier pour se redécouvrir, pour ressortir plus fort, pour apprendre. J’espère en tout cas que mes lecteurs expérimentent ceci en me lisant ! Mais au-delà de ça, j’aime trouver le bon angle de narration pour permettre à la psychologie de mes personnages de s’exprimer le plus justement possible, j’aime jouer avec les mots pour créer une ambiance, créer une intimité avec le lecteur… c’est fou ce qu’on peut réussir à faire avec des mots ! Mais j’aime aussi déployer la psychologie des personnages, les suivre dans leurs épreuves ou leurs joies… encore une fois, tout est si riche dans l’écriture ! J’avoue aussi que j’aime bien surprendre mon lecteur (ou ma lectrice), le tenir en haleine… un bon livre aide souvent à voir le monde avec plus de recul. Quand on arrive à se détacher de nos soucis un moment, on y voit plus clair. C’est reculer pour mieux sauter !
7°) Un dernier mot pour le lecteur qui découvre tes romans.
Bienvenue et enchantée ! Si tu décides de laisser sa chance à mes héros de papier, merci beaucoup ! Et à tous ceux qui me connaissent ou ceux qui ne me connaissent pas encore, sachez que l’espérance et l’amour sont la clef de tout. Aimez, espérez, et le monde est à vous !
Merci à Charlène pour cet interview, je vous invite à aller découvrir ses romans.
-Zélie-