« J’avais consacré ma vie au langage. Mais parfois, les mots ne sont pas nécessaires. »
Il faut être honnête, ce n’est pas un livre sur lequel je me serais arrêtée en temps normal. Je ne sais pas trop pourquoi, d’ailleurs, mais c’est sûr et certain que je serais passée à côté ! Alors, je remercie chaleureusement le site covid19.confinementlecture et la ME de me l’avoir fait découvrir !
C’est une amie qui est en train de le lire et qui m’a convaincu de m’y plonger moi aussi, alors que j’avais commencé un autre livre… Comme vous pouvez l’imaginer, j’ai mis de côté l’autre bouquin et je me suis plongée dedans corps et âme ! Hé ouais ! Moi aussi ça m’étonne parce que, franchement, je n’étais pas ultra convaincu…
C’est Whyborne qui s’est chargé de me convaincre dés les premières lignes : je l’ai donc dévoré ! J’ai beaucoup aimé, d’ailleurs, ce personnage principal à cause de son caractère fragile, tranquille et en même temps, il a un courage et détermination qui lui donne une force incroyable pour agir de manière étonnante dans les situations les plus stressantes !
Ce que j’ai bien aimé aussi, c’est que c’est un livre qui est très visuel et donc je me représentais très bien toute l’histoire et ça, c’est vachement chouette !!
J’ai beaucoup aimé cette histoire et je crois que je vais me laisser tenter par la suite, parce que Whyborne et Griffon, parce que ça promet d’être sympa ! ;)
Le seul petit point négatif est que je n’ai pas bien compris la temporalité du livre : parce qu’on s’y déplace en fiacre et le vouvoiement est roi, mais pour ce qui d’autres scènes, ils parlent un peu trop crûment… Du coup, je ne sais pas trop si à cette époque on parlait vraiment comme ça ou si c’est un rajout de l’auteur et dans ce cas, ce n’est pas terrible terrible …
Ma note 4/5