Pour résumer:
Les Manuscrits du Concile de Merlin ont apporté le chaos et la destruction dans la vie de Gwendaëlle, la fille de Myrdhin Emrys dit Merlin l’Enchanteur et de bien d’autres. Mystères, meurtres et complots les entourent. Tous les veulent, l’Église, les rois et surtout les Mages noirs.
Février 537 – Britannia Major – Gwendaëlle et Gildas prennent la route de Rome, marchant ainsi sur les traces du passé de Merlin. Ce chemin les mènera bien plus loin, à l’autre bout du monde et aux confins d’eux-mêmes. Ils découvriront alors une vérité qui pourrait faire trembler les fondements de l’Église.
Début du 1er siècle, Jérusalem – Les Mages d’Orient rendent hommage au futur Roi-Mage, celui qui changera la face du monde.
An 467 – Désert de Scété, Kemet – Merlin quitte le temple secret des hommes du désert avec une mission. Celle-ci le poussera jusqu’au lointain pays des Gupta, la vallée de l’Indus puis au pays des neiges éternelles. À son retour en Cornouailles, Myrdhin poursuivra son but et façonnera le destin d’un autre futur Roi-Mage : Arthur.
Ce que j’en pense:
Suite des aventures de Gwendaëlle (pour le tome 1, c’est par ici) dans ce roman qui va nous plonger dans le passé du fabuleux Merlin. En quête de réponses, elle va découvrir un énorme secret qui pourrait bien mettre à mal l’Église toute entière.
L’intrigue drôlement bien mené mêle magie et suspens. Le lecteur y découvre un monde nouveau rempli de mystères et de dangers. Afin de donner un certain rythme au récit, l’auteur prend le parti de faire des aller retours dans le temps. Ainsi, l’ensemble s’alimente de façon judicieuse et permet de faire avancer l’intrigue.
J’ai été ravie de retrouver les personnages côtoyés dans le tome 1. Gwendaëlle fait preuve de courage et de détermination. J’aime particulièrement ce personnage au caractère fort. Elle est selon moi le centre de ce roman. Néanmoins, Lionel Cruzille a travaillé tous les personnages les faisant évoluer au fur et à mesure du récit.
L’écriture quant à elle est toujours aussi agréable.
Bref:
Il y a une suite!
Si je devais le noter:
Merci qui?
Je tiens à remercier les Editions L’Alchimiste et en particulier Lionel Cruzille pour sa confiance.