Pour résumer:
Nous connaissons tous l’histoire de la petite sirène, ce conte ancestral qui nous rappelle qu’il faut parfois perdre sa voix pour mieux la retrouver. Ariel désire explorer le monde et s’aventurer au-delà des frontières du royaume de son père, le roi des océans. Par amour, elle renonce à sa voix et manque d’y laisser la vie. Mais le bien l’emporte, et elle sort de ces épreuves métamorphosée et heureuse.
Pourtant, ce n’est que la moitié de l’histoire. Qu’en est-il de son ennemie Ursula, la terrible sorcière des mers? Pourquoi et comment est-elle devenue si retorse et pleine de haine, dédaignée par la cour de Triton?
Voici l’histoire d’une pauvre âme en perdition…
Ce que j’en pense:
Avec ce roman qui reprend la célèbre histoire de La Petite Sirène, mais, d’un autre point de vue, nous sommes plongés dans l’envers du décor.
Le lecteur découvre donc l’histoire d’Ursula, la vilaine du dessin animé. De nombreuses références sont faites à d’autres histoires au début du roman et franchement, cela ne gêne pas la compréhension de l’histoire mais néanmoins, cela empêche de comprendre tous les tenants et les aboutissants.
L’intrigue générale est plutôt bien faite même si elle est plutôt simple. Certains dialogues sont directement retranscrits du dessin animé et en grande fan de Disney, j’ai apprécié la référence.
Le personnage d’Ursula apparaît sous un nouvel angle. Elle acquiert une certaine profondeur et l’on découvre un nouveau pan de sa personnalité. J’ai apprécié de connaître son passé. Certaines découvertes sont surprenantes et m’ont fait regarder d’un autre œil le dessin animé de Disney.
Le style d’écriture est quand même simple peut être un peu trop. Ce n’est pas mal écrit mais franchement ce n’est pas non plus mirobolant. Il ne faut donc pas lire ce roman pour son côté stylistique mais plus pour découvrir d’autres choses sur la fameuse vilaine de Disney.