Bon, alors voilà, j’ai fini hier le troisième de tome de cette saga longue saga qui est Sword Art Online. Et chose rare, je n’ai pas trouvé les mots pour vous en parler à l’instant même de ma fin de lecture. C’est vraiment très rare pour que je le mentionne !
À la fin de ma lecture, j’ai tellement ressenti tout un tas d’émotions et de sentiments que bah… Moi aussi, je ne savais plus bien dans quel monde, je me trouvais. Je ne sais plus si j’étais dans « mon monde » ou dans ceux de SAO. Finalement, on se dit que Kirito a raison sur le fait que, ce qui change entre « ma réalité » et la sienne, c’est finalement le nombre de pages qui nous séparent…
C’est la même chose pour les mondes virtuels que l’on crée avec des données informatiques, et où l’on s’y plonge en immersion complète, grâce à un casque qui nous permet cet exploit… La différence entre le monde réel et virtuel n’est finalement qu’une histoire de données informatiques… Bientôt, la différence sera mince entre les deux…
C’est ce qu’on apprend dans ce troisième tome. Et, ça fait pas un peu flipper ? Surtout, qu’on sait que la distance mise par les joueurs sur leurs avatars n’existe plus et que maintenant grâce à cette immersion complète, ils ne font plus qu’un… Cela veut dire que la personnalité du joueur se retrouve également dans son avatar… Donc si la personne est méchante ou gentille : ça se verra !
Cette nouvelle version du jeu vidéo montre à merveille la capacité humaine à se renouveler pour commettre des crimes horribles…
Je crois que c’est pour cette raison que j’admire autant Kirito et ses amis. D’avoir eu le courage de reprendre ce genre de jeux. Alors qu’ils sont restés deux ans coincés dans le funeste et révolutionnaire Sword Art Online…