« Osez, osez Joséphine
Osez, osez Joséphine
Plus rien ne s'oppose à la nuit
Rien ne justifie »
J’ai
lu quelque part, que cette chanson était un hymne à la femme, à la
liberté, à la liberté de la femme. Alors, je me suis mis à écrire ce qui
suit en écoutant le regretté Alain Bashung, parti trop tôt, sans doute «
à l’arrière d’une berline ».
Pas question qu’elle s’ankylose,