Azadah est une petite fille pleine de vie, pleine de rêves, pleine de fougue, mais elle n'a pas de chance. Elle est née au mauvais endroit au mauvais moment, dans un Afghanistan sous le joug des talibans. Elle veut juste aller à l'école, lire des livres, regarder des films, aller au musée. Elle veut juste rencontrer des gens, parcourir le monde. Elle veut juste exercer un métier qui lui plait. Bref, elle veut tout ce qu'elle ne peut pas avoir dans son pays natal. Elle veut tout ce que les enfants du monde occidental délaissent au profit des écrans de leur iPhone. Mais cette petite fille est née sous une bonne étoile.
D'abord, son prénom signifie liberté en persan. Ensuite, son chemin va croiser une femme occidentale, libre, photographe qui lui a ouvert une fenêtre sur le monde ! Azadah voudrait tant partir avec elle !
J'avais déjà lu " Les Étoiles ", plus récent, et j'ai reconnu dans cette même poésie, cette même espérance, cette même foi en la vie.
Merci Jacques Goldstyn pour ce petit instant de grâce !