Les sorties littéraires de Juin // 20

Par Museaurania @MuseaUrania

Hey ami lecteur ! En ce jour de grâce, 24 mai 2020, le blog sort de son auto-confinement pour te donner envie de lire les nouveautés à paraître et participer à la sauvegarde du monde du livre. La coupure fut grandement nécessaire avec un rythme de publications ponctuelles, mais peut-être plus qualitatifs.

Avec le confinement, les sorties littéraires ont été tout simplement stoppées, du moins en papier et c’est avec grand plaisir que je vais te parler des nouveautés qui me font envie. Je vais me concentrer principalement sur le grand Format, sinon on n’est pas sorti de l’auberge. Prends ton stylo (ou ton portable), ton carnet et prend des notes !

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Le livre de M, Peng Shepherd (Albin Michel Imaginaire) Clairement, LE roman que je zieutte depuis l’annonce sur le blog de « Just a Word ». J’aime ce côté fantastique urbain assez sombre.

Un jour, en Inde, un homme perd son ombre – un phénomène que la science échoue à expliquer. Il est le premier, mais bientôt on observe des milliers, des millions de cas similaires. Non contentes de perdre leur ombre, les victimes perdent peu à peu leurs souvenirs et peuvent devenir dangereuses.

En se cachant dans un hôtel abandonné au fond des bois, Max et son mari Ory ont échappé à la fin du monde tel qu’ils l’ont connu. Leur nouvelle vie semble presque normale, jusqu’au jour où l’ombre de Max disparaît…

Ninth house, Leigh Bardugo (De Saxus) Après avoir édité Le prieuré de l’Oranger (que j’espère trouver en occasion un jour), De Saxus poursuit avec Leigh Bardugo. L’autrice, à qui l’ont doit Grisha et Six of Crow, fait son entrée dans la fantasy adulte. Forcément, j’en suis.

Le jour où Kennedy n’est pas mort, R.J Ellory (Sonatine) En deux mots : Kennedy / Uchronie. J’ai un amour inconditionnel pour les uchronies, alors autant dire que j’en attends beaucoup.

C’est l’une des histoires les plus connues au monde – et l’une des plus obscures. Le 22 novembre 1963, le cortège présidentiel de John F. Kennedy traverse Dealey Plaza. Lui et son épouse Jackie saluent la foule, quand soudain…
Quand soudain, rien : le président ne mourra pas ce jour-là. En revanche, peu après, le photojournaliste Mitch Newman apprend le suicide de son ex-fiancée, dans des circonstances inexpliquées. Le souvenir de cet amour chevillé au corps, Mitch tente de comprendre ce qui s’est passé. Découvrant que Jean enquêtait sur la famille Kennedy, il s’aventure peu à peu dans un monde aussi dangereux que complexe : le cœur sombre de la politique américaine.

La ville sans vent, Eléonore Devillepoix (Hachette Roman) Je lis très peu de YA, mais depuis La Faucheuse, je me dis que des pépites doivent se cacher sûrement. La ville sans vent semble être un objet livre superbe et l’histoire, pour autant classique, me promet un moment lecture sans prise de tête.

A dix-neuf ans, Lastyanax termine sa formation de mage et s’attend à devoir gravir un à un les échelons du pouvoir, quand le mystérieux meurtre de son mentor le propulse au plus haut niveau d’Hyperborée.
Son chemin, semé d’embûches politiques, va croiser celui d ‘Arka, une jeune guerrière à peine arrivée en ville et dotée d’un certain talent pour se sortir de situations périlleuses. Ca tombe bien, elle a tendance à les déclencher…
Lui recherche l’assassin de son maître, elle le père qu’elle n’a jamais connu. Lui a un avenir. Elle un passé.
Pour déjouer les complots qui menacent la ville sans vent, ils vont devoir s’apprivoiser

Les Chroniques de Camulod, Jack Whyte (Bragelonne).

En un seul mot : Arthur.

Nous savons tous qu’Arthur a extrait l’épée de la pierre, qu’il a fondé Camelot, que les luttes de pouvoir ont fini par détruire ses rêves. Mais comment la légende est-elle née ?

Avant Arthur, avant Camelot, la Bretagne est une contrée obscure et sauvage. Les citoyens romains qui y sont installés depuis plusieurs générations sont confrontés à un dilemme : quitter la province et regagner une société corrompue qui leur est devenue étrangère, ou endurer la violence des guerriers pictes et de l’envahisseur saxon. Mais que se passera-t-il lorsque les légions, dernier rempart de la civilisation romaine, se retireront ?

Pour Publius Varrus et Caius Britannicus, une seule option possible : il leur faut rester, préserver les coutumes romaines dans ce qu’elles ont de meilleur, tout en inventant une nouvelle culture à partir des vestiges de l’ancienne.

Ils donneront ainsi naissance à la légende. Car ces deux héros sont les arrière-grands-pères d’Arthur, et ils vont par leurs actes forger une nation… mais aussi une épée, nommée Excalibur.

L’hiver de la Sorcière; Katherine Arden – tome 3 – (Denoel).

J’avais adoré les deux premiers tomes à la fois sombres et poétiques. Je m’attends à une conclusion de haut vol !

Moscou se relève difficilement d’un terrible incendie. Le grand-prince est fou de rage et les habitants exigent des explications. Ils cherchent, surtout, quelqu’un sur qui rejeter la faute. Vassia, avec ses étranges pouvoirs, fait une coupable idéale. Parviendra-t-elle à échapper à la fureur populaire, aiguillonnée par père Konstantin? Saura-t-elle prévenir les conflits qui s’annoncent? Arrivera-t-elle à réconcilier le monde des humains et celui des créatures magiques? Les défis qui attendent la jeune fille sont nombreux, d’autant qu’une autre menace, bien plus inquiétante, se profile aux frontières de la Rus’.


J’espère que vous allez tous bien en cette période particulière ♥

Restons positifs et continuons à nous évader


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