Bonjour tout le monde,

En août j’ai augmenté mes lectures 😛 …J’ai lu 2 livres dont Les Uchroniques Comtoises dans le cadre du PAI 2019 catégorie Imaginaire.

Comme souvent, je n’ai pas vraiment le temps (ni le courage je dois l’admettre 😉 ) de vous faire des retours de lectures. C’est l’avantage du PAI, je me suis engagée auprès d’une équipe qui se plie en 4 pour les auteurs indépendants et de petites ME et je ne voudrais pas les décevoir 🙂 .

Bon c’est pas tout, revenons-en aux Uchroniques Comtoises 😉

4ème de couverture

1903
Besançon est devenue la capitale de la technologie française. Elle abrite au cœur de la Citadelle qui domine la ville, sous la protection de l’armée, un des instituts de recherche les plus avancés du pays.
Victorien, le fils du directeur, y travaille depuis trois ans comme ingénieur. Il a bercé toute son enfance dans les légendes de la région et rêve de mener à bien la construction d’une machine volante pour partir à la recherche de celle qui hante ses rêves, la mystérieuse Dame Verte.
L’occasion lui est bientôt offerte de donner vie à son projet, mais de la Citadelle de Besançon à la forteresse de Joux où vont le conduire les événements, le chemin va se révéler semé d’embûches.

Les Uchroniques Comtoises sont une série de romans steampunk qui se déroulent dans une Franche-Comté alternative du début du 20ème siècle.
Les mêmes personnages en sont les héros, mais chaque roman peut se lire indépendamment.

Mon avis

La couverture : Je n’en dirai pas grand chose sauf que c’est pas mon style.

L’histoire : Tout a plutôt mal commencé entre nous dés le début de la lecture. Le problème ? Mes références 🙂 … Quand quelqu’un me parle de La Vouivre, la 1ère image que j’ai en tête (et qui malheureusement est vraiment très imprégnée dans mon subconscient 😦 ) c’est ça :

Hors dans le roman de Rachel Fleurote, la Vouivre ressemble à ça 😉

Difficile de passer de l’un à l’autre…Enfin bref, c’est elle qui a raison selon les légendes comtoises. Et c’est là que le bas blesse à nouveau pour moi car je n’ai pas les références. J’avoue que j’aurais apprécié de retrouver en début ou fin de roman, les mythes sur lesquels elle se base, je pense que cela aurait donné plus de « corps » à ma lecture. Je reste sur ma faim de connaître l’origine de la Dame en vert et des lynx.

Tout comme le côté légendes comtoises, je ne trouve pas le côté steampunk assez développé, j’ai l’impression d’être resté en surface et c’est bien dommage !

Mais malgré tout j’ai apprécié ma lecture…et oui cela peut sembler bizarre vu les remarques négatives.

La plume est agréable, les pages tournent sans aucune difficulté et le petit suspens concernant la concurrence et le vol d’information tient en haleine. J’ai aussi beaucoup apprécié les diverses relations de Victorien et en particulier celles avec son père. Ce dernier est à sa manière attachant et attise notre curiosité sur sa difficulté à établir un lien avec son fils malgré sa profonde affection.

Conclusion

Un roman qui se lie facilement, une histoire prenante malgré quelques faiblesses sur le monde de l’Imaginaire.

Lien du PAI 2019

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