Ils ont rejoint mon Himalaya à lire

Publié le 23 août 2020 par Nathalie Vanhauwaert

 Ils ont rejoint mon Himalaya à lire 

Arrivées de la semaine

Cette semaine, deux entrées  Futuropolis que je remercie vivement.

Parution prévue le 26 août pour :

La patrie des frères Werner  -  Philippe Collin & Sébastien Goethaels


FuturopolisDessin : Sébastien GoethaelsScénario : Philippe Collin
Parution : 26 août 2020Pages : 152
Isbn : 9782754828246Prix : 23 €
Présentation de l'éditeur 
Mai 1945. Dans les ruines de Berlin, deux orphelins juifs assistent apeurés à la victoire soviétique. Réfugiés à Leipzig, Konrad et Andreas Werner deviennent citoyens Est-allemands. C’est la marche de l’histoire.
Juin 1956. Les deux frères ont rejoint les rangs de la Stasi pour échapper au camp de rééducation. Ils seront les fils de l’Est.
Juin 1974. Lors de la 10ème coupe du monde de football, un match historique va opposer la RFA et la RDA. C’est le match de la guerre froide. Le retentissement est mondial.
Pour faire gagner la RDA, Erich Honecker décide d’impliquer les meilleurs agents de la Stasi. Il faut prouver la supériorité du régime socialiste sur le monde capitaliste. Konrad Werner est infiltré depuis des mois dans l’équipe de la RFA. Andreas Werner fait partie de la délégation de RDA. Voilà douze ans qu’ils ne se sont pas vus.
Le choc des deux bloc va ébranler leurs convictions.

À la même date dans un autre registre paraîtra : 
Black-out     -  Loo Hui Phang & Hugues MicolFuturopolisParution : 26 août 2020Dessin : Hugues MicolScénario : Loo Hui PhangPages : 200Isbn : 9782754828048Prix : 28 €
Présentation de l'éditeur
Maximus Wild connut son heure de gloire dans le Hollywood des années 1940-50. Métis de descendance noire, chinoise et amérindienne, il fut « l’acteur aux mille visages », interprétant essentiellement des rôles « ethniques » : chef indien, révolutionnaire mexicain, dandy oriental…
Véritable relecture du mythe du cinéma américain par le prisme des minorités, Maximus Wyld donne à voir la dimension politique et sociale des productions hollywoodiennes
Chez Albin Michel en septembre sortira le dernier roman de Didier Van Cauwelaert
L'inconnue du 17 mars   -  Didier van CauwelaertAlbin MichelParution : 16 septembre 2020Pages : 173Isbn : 978226400482Prix : 17.90 €Présentation de l'éditeur
« Il fallait que la planète ferme pour que les cœurs s’ouvrent. »
Le 17 mars 2020, par la grâce d’un virus, un sans-abri se retrouve confiné avec une créature de rêve. Est-ce la femme qui jadis enflamma son adolescence, une mythomane, une perverse manipulatrice, ou une ultime chance de survie ? Et si le sort du genre humain dépendait de la relation qui va se nouer, dans une maison à l’abandon, entre un ancien prof de 35 ans brisé par l’injustice et une exilée en manque d’amour ?
Avec ce conte philosophique irrésistible et poignant, au cœur d’une actualité bouleversant tous nos repères, Didier van Cauwelaert entraîne nos peurs, nos détresses, nos colères dans un tourbillon de révolte, de joie libératrice et d’espoir.
On termine avec un auteur belge, merci Jean pour l'envoi de ton livre
L'ivresse des livres  -  Jean Jauniaux

Zellige Collection "Vents du Nord"Parution : août 2020Pages : 168Isbn : 9782914773942Prix : 16.50 €
Présentation de l'éditeur

Dans cet ouvrage, le lecteur vivra le coup de foudre entre une libraire et un client, qui vont passer la nuit à se lire mutuellement des extraits de livres. Il entendra une juge condamner de jeunes néonazis à lire des romans plutôt que de les envoyer en prison. Il suivra une jeune SDF réfugiée dans un abri entre deux aiguillages de la gare du Midi à Bruxelles et qui passe ses journées à dévorer les œuvres complètes du Che. Il apprendra qu’au xxiie siècle, où règnent lunettes virtuelles et implants de puces, un vieillard atteint de démence sénile a découvert un effet inespéré de la lecture des romans sur la plasticité du cerveau. Il verra comment, dans un pays à la liberté bafouée, où sont enfermés les esprits libres et brûlés les livres, un écrivain bagnard sauvera la littérature.
Les douze histoires qui jalonnent L’ivresse des Livres mêlent réalité et imaginaire comme aime à le faire Jean Jauniaux. On y retrouve ce «mélange de gravité et d’ironie douce» qu’évoquait à son propos le prix Nobel de littérature Jean-Marie Gustave Le Clézio.
“Un recueil qui célèbre la lecture,
les libraires, les bibliothécaires...
et les livres !”
Belle semaine à toutes et à tous.