Les Cavaliers de l’Apocalypse sont de retour
Un grand merci à Carole, Éditions Addictives, pour ce nouveau service presse
Et s’il était temps d’être heureux ?
De quoi ça parle : Elle est sûre d’une chose : jamais un biker ne la mettra dans son lit !
Sasha fait tout pour se tenir à l’écart des Horsemen of the Apocalypse : elle ne veut pas entendre parler de bikers… et surtout pas de War, le plus dangereux et charismatique d’entre eux ! Alors, quand elle est missionnée par son patron pour aller mettre des bâtons dans les roues des Horsemen, elle a juste envie de s’enfuir en courant – ou de balancer la crosse de son revolver contre la tempe de ce foutu biker aux yeux noisette ! Mais lorsqu’elle se retrouve impliquée dans une guerre de clans qui la dépasse, elle sait qu’elle va devoir choisir son camp : celui de la raison, ou celui de l’homme qui risque d’enflammer son cœur… et sa petite culotte !
Ce que j’ai aimée … ou pas … : War a toujours tout fait pour ne pas impliquer Sasha dans son quotidien de violences… mais quand son passé revient le hanter, il va devoir prendre la bonne décision .. Alors que dire 1) Sasha pourrait enfin tirer un trait sur les petits boulots dangereux, mais pour cela, elle va devoir revoir la seule personne qu’elle déteste le plus au monde : War, l’homme qui lui a brisé le cœur et abandonné quand elle avait besoin de lui. Si les années ont passé, sa rancœur s’est amplifiée et sa vie ne s’est pas vraiment améliorée. Certes, elle a rencontré un homme qui lui tendu la main, mais à quel prix ? Avec Morgen, elle ne sait pas sur quel pied dansé, elle flirte tout en le craignant. Elle veut voir en lui la possibilité de tourner la page, de partir et de prendre un nouveau départ. Cependant, si certains signaux auraient pu l’alerter, elle découvre trop tard qu’elle n’est qu’un simple pion dans une vendetta qui n’est pas la sienne. Elle se retrouve prise entre deux feux (sans mauvais jeu de mots) et si elle ne veut surtout pas retomber dans les bras du biker, il y a qu’avec lui qu’elle se sent en sécurité. Sasha est une femme futée qui sait user de ses charmes pour obtenir ce qu’elle veut ou ce qu’on lui demande. Elle sait aussi très bien se servir de son Colt DS pour neutraliser l’un des leaders des Horsemen
Avis : J’aime toujours autant ces bikers. Ils sont une véritable famille qui se serrent les coudes en cas de coup dur. J’ai adoré découvrir Conquest, Famine, War et Sasha plus jeunes. Ces flashbacks distillés au bon moment, nous permettent de comprendre l’état d’esprit des protagonistes et surtout de savoir qui est qui par rapport à qui. On découvre que son amitié avec Conquest ne date pas d’hier et on voit déjà la complicité qu’il entretient avec Famine. Mon cœur s’est serré pour War qui a connu trop de violence et dû grandir trop tôt. À chaque moment clé de sa vie, il s’est fait des amis sur lesquels il peut compter les yeux fermés, mais on découvre aussi qu’il a surtout perdu un morceau de son âme. On dit qu’on se souvient toujours de son premier amour et cela se confirme avec War et Sasha. Si on met de côté la façon dont ils se sont quittés, tous deux ont été incapables d’avancer et de laisser une chance à une autre personne. War fait partie de cette famille qui est les Horsemen of the Apocalypse et a occulté tout un pan de sa vie. Oui, son mentor, War l’ancien, a été dur avec lui, mais n’est-ce pas pour le remettre sur le droit chemin ? Sasha est une femme qui en vu de toutes les couleurs et qui ne se laisse pas marcher sur les pieds. Je l’ai beaucoup aimé ! Elle a du répondant et si elle craint les bikers, hors de question de leur montrer. Elle est d’ailleurs l’une des seules à ne pas mâcher ses mots avec War. Alors oui, elle est perdue dans ses sentiments, quand elle est enfin prête à faire entrer un homme dans sa vie, celui qu’elle n’a jamais oublié refait surface. Sa vie va se transformer en champ de bataille mais sera aussi l’occasion de découvrir quelques vérités. Si je me doutais qu’il y avait un “problème” avec ce Morgen, je ne m’attendais pas à ça
@ très vite entre deux chapitres