Je ne sais pas si un prénom peut vraiment définir le caractère d’un homme, mais je vous propose de faire la connaissance d’un nouveau Bennett, qui n’a rien à envier à Monsieur Ryan (Beautiful Bastard)
Un grand merci à NetGalley et Bookelis pour ce service presse
Et si une vandale chamboulait votre monde ?
De quoi ça parle : Bennett Fox a débarqué dans ma vie par un lundi matin merdique. J’étais en retard pour le premier jour de mon nouveau boulot, un boulot pour lequel j’allais maintenant devoir me battre même si j’avais déjà travaillé huit ans pour le remporter, à cause d’une fusion inattendue. Alors que je trimballais mes affaires jusqu’à mon nouveau bureau, j’ai reçu un PV pour m’être mal garée. La policière verbalisait tout un alignement de voitures, à l’exception de l’Audi garée devant moi, exactement la même marque et le même modèle que la mienne. Agacée, j’ai décidé de refiler mon PV à la voiture qui avait échappé à l’amende. Avec un peu de chance, le propriétaire le paierait sans se douter de rien. L’ennui, c’est que j’ai accidentellement cassé l’essuie-glace en glissant le papier sur le pare-brise de la voiture. Sérieusement, ma journée commençait mal. Tout s’est arrangé quand j’ai rencontré un homme magnifique dans l’ascenseur. Nous avons partagé l’un de ces moments qui n’arrivent que dans les films. Vous voyez le genre… votre corps s’embrase, des feux d’artifice se déclenchent et l’air crépite autour de vous. Sous son regard brûlant, le temps que je sorte de l’ascenseur, j’étais toute rouge. Finalement, la journée n’était pas si mauvaise. C’était ce que je croyais. Jusqu’à ce que j’entre dans le bureau de mon nouveau patron et rencontre mon concurrent. Le beau spécimen de l’ascenseur était désormais mon ennemi juré. Son regard n’était pas brûlant en raison d’une attirance mutuelle. C’était parce qu’il m’avait vue vandaliser sa voiture. Et maintenant, il était impatient d’anéantir sa rivale. La limite est fine entre l’amour et la haine, et c’est un jeu dangereux. C’est une limite à (ne pas) franchir… pourtant, ce serait tellement agréable de jouer un peu.
Ce que j’ai aimé … ou pas … : Je ne sais pas pourquoi mais j’ai été attirée par la couverture, cet homme dégage un petit quelque chose qui définit parfaitement Bennett, beau tout en étant inaccessible. Alors que dire 1) Annalise O’Neil commence mal la semaine : elle se fait verbaliser, se coince les cheveux dans un essuie-glace, casse le dit essuie-glace et s’aperçoit que l’homme capable de la rendre toute chose est celui avec lequel elle va devoir se battre pour conserver sa place. Elle a passé beaucoup d’heures de travail pour devenir directrice créative mais voilà, la fusion fait qu’il ne peut avoir qu’un seul directeur…. Pour ne rien arranger, son mec, depuis huit ans, lui impose une pause, mais la garde sous le coude en cas de coup dur. Heureusement, elle peut profiter, un soir par semaine, des avantages du travail de sa meilleure amie, Madison, critique culinaire. Pendant que l’une passe au crible le menu, Anna décortique ses sentiments vis-à-vis de son adversaire. Cependant, on dirait que la chance a enfin décidé de faire une petite halte dans sa vie, les dossiers qui se présentent pour ne pas perdre son poste sont proposés par des connaissances … 2) Bennett Fox est un homme qui a du mal à tourner sa langue sept fois dans sa bouche avant de dire quelque chose : résultat, il a quelques soucis avec les ressources humaines. S’il n’est pas vraiment décidé à jouer franc-jeu, ce n’est pas un vrai connard (enfin, si, mais il a des circonstances atténuantes
Avis : J’ai adoré ! Certes, nous avons encore une histoire d’amour avec un homme qui refuse toute sorte d’engagement, mais attention, cette romance prend vie sous la plume de Vi Keeland ! Nous avons donc des piques, quelques coups bas, des bizarreries et surtout deux personnes qui se rencontrent au mauvais moment. Bennett va profiter d’un deal pour obtenir ce qu’il veut sans promettre de soirées romantiques, mais très vite, il se rend compte qu’il y a une étincelle entre eux. Il arrive même à trouver une sorte de plénitude, même s’il se comporte en mec jaloux
@ très vite entre deux chapitres