Autrice: M.S Mage
Maison d'édition: Autoédité
Genre: fantasy
Prix: 15,00 €
Pages: 412
Date de 1er édition: 2020
1ère impression:
Parlons des personnages
C'est avec un petit pincement au cœur que je termine ce dernier tome. J'ai apprécié l'originalité de cet univers où les femmes sont au pouvoir et les hommes sont des êtres inférieurs, insignifiants, relégués au simple rôle d'esclaves. J’ai apprécié que l’univers et les personnages soient encore plus développés dans ce dernier tome. Il y a tout ce qu’il faut : de l’action, du mystère, de folles révélations et des rebondissements.
Les + :
* Le point fort pour moi est vraiment l'univers qui est très original, bien abouti, riche et plaisant à découvrir. Cet univers amène des réflexions très intéressantes sur l'égalité des sexes.
* L'histoire en elle-même est assez sympa. J’ai aimé me tenir aux côtés de Physalis dans cette bataille finale pour apporter un meilleur avenir plus prospère a son peuple.
* J'ai aimé voir les personnages changer et prendre conscience que les hommes sont avant tout des êtres humains.
Les - :
* Les personnages m’ont vraiment énervé à certains moments, j'avais envie de les secouer.
* Quelques longueurs m’ont un peu freinée dans ma lecture, mais elles sont nécessaires par moments.Une Citation pour se faire une idée de la plume !
Une brise tiède s’infiltra dans la chambre à l’étage, caressant la peau nue des deux corps enlacés. L’atmosphère de la cité s’engageait par la fenêtre entrouverte , transportant les effluves printaniers du marché et l’effervescence matinale des femmes et des hommes de Sàlissa. L’intérieur de la pièce, à l’inverse, semblait aussi paisible qu’au lever du soleil
Maison d'édition: Autoédité
Genre: fantasy
Prix: 15,00 €
Pages: 412
Date de 1er édition: 2020
Résumé
D’un amour interdit est né l’espoir d’un monde plus juste.Aujourd’hui, Physalis et Lime sont plus que jamais unis. Mais alors que l’influence du royaume de Vénus est remise en question, l’avenir auquel ils aspirent semble inaccessible.Ne pouvant se résoudre à abandonner Arum aux mains de la Fédération, Physalis doit affronter les manipulations de la sénatrice.Lime, quant à lui, poursuit une entreprise dangereuse aux Agoras.Bientôt, les cartes du pouvoir seront redistribuées, mais Physalis parviendra-t-elle à assumer pleinement son rôle d’héritière et à protéger ceux qu’elle aime ?Quel futur les enfants de Vénus pourront-ils léguer à leur descendance ?1ère impression:
J'étais très heureuse de replonger dans l'univers des enfants de Vénus. C'est avec un petit pincement au cœur que j'ai fini de découvrir l'histoire de Physalis. Un dernier tome a la hauteur des deux premiers.
Parlons des personnages
C'est avec un petit pincement au cœur que je termine ce dernier tome. J'ai apprécié l'originalité de cet univers où les femmes sont au pouvoir et les hommes sont des êtres inférieurs, insignifiants, relégués au simple rôle d'esclaves. J’ai apprécié que l’univers et les personnages soient encore plus développés dans ce dernier tome. Il y a tout ce qu’il faut : de l’action, du mystère, de folles révélations et des rebondissements.
Les + :
* Le point fort pour moi est vraiment l'univers qui est très original, bien abouti, riche et plaisant à découvrir. Cet univers amène des réflexions très intéressantes sur l'égalité des sexes.
* L'histoire en elle-même est assez sympa. J’ai aimé me tenir aux côtés de Physalis dans cette bataille finale pour apporter un meilleur avenir plus prospère a son peuple.
* J'ai aimé voir les personnages changer et prendre conscience que les hommes sont avant tout des êtres humains.
Les - :
* Les personnages m’ont vraiment énervé à certains moments, j'avais envie de les secouer.
* Quelques longueurs m’ont un peu freinée dans ma lecture, mais elles sont nécessaires par moments.Une Citation pour se faire une idée de la plume !
Une brise tiède s’infiltra dans la chambre à l’étage, caressant la peau nue des deux corps enlacés. L’atmosphère de la cité s’engageait par la fenêtre entrouverte , transportant les effluves printaniers du marché et l’effervescence matinale des femmes et des hommes de Sàlissa. L’intérieur de la pièce, à l’inverse, semblait aussi paisible qu’au lever du soleil