Auteur: Nicolas Lebel
Maison d'édition: Marabout
Genre: thriller
Prix: 21,50 / 7,50€
Pages: 416
Date de 1er édition: 2014
Paris à la Toussaint. Le capitaine Mehrlicht, les lieutenants Dossantos et Latour sont appelés à l'hôpital Saint-Antoine : un patient vient d'y être empoisonné. Le lendemain, c'est une famille entière qui est retrouvée sans vie dans un appartement des Champs-Élysées. Puis un couple de retraités à Courbevoie... Tandis que les cadavres bleutés s'empilent, la France prend peur : celle qu'on surnomme bientôt l'Empoisonneuse est à l'oeuvre et semble au hasard décimer des familles aux quatre coins de France depuis plus de quarante ans. Les médias s'enflamment alors que la police tarde à arrêter la coupable et à fournir des réponses : qui est cette jeune femme d'une trentaine d'années que de nombreux témoins ont croisée ? Comment peut-elle tuer depuis quarante ans et en paraître trente ? Surtout, qui parmi nous sera sa prochaine victime ? Dans la tornade médiatique et la vindicte populaire, chacun reconnaît la tueuse : elle est une voisine, une soeur, une ex, et la chasse aux sorcières s'organise. Mais derrière l'Empoisonneuse, c'est la Mort elle-même qui est à l'oeuvre, patiente et inexorable : nul ne lui échappera.
C'était un plaisir de retrouver le capitaine Mehrlicht. Une lecture captivante et prenante. L'enquête m'a tenu en haleine tout le long. C'est drôle, prenant, bien ficelé, addictif et bien documenté.Parlons des personnages Les personnages présents ici sont super sympas à suivre. J’ai trouvé cette équipe très complémentaire. Ils sont tous bien travaillés, avec une grande profondeur psychologique. J'ai adoré le personnage de Mehrlicht. C'est le chef de cette superbe équipe. J'ai aimé son humour. J'ai trouvé que c'était un personnage avec une très grande profondeur. C'est un homme que j'ai trouvé intègre, déterminé, loyal, bon flic et entier, même si parfois il paraît antipathique. Ses deux comparses de travail sont tout aussi intéressants. La lieutenante Latour, est une jeune femme douce, intègre, déterminée, intelligente et douce. Le lieutenant Dossantos lui est plus solitaire et montre une grande obsession pour la loi. Passons à l'histoire de ce livreJ'ai adoré retrouver la brigade pour une nouvelle enquête passionnante et palpitante. J'ai adoré suivre la traque de cette tueuse en série. J'avais qu'une seule envie découvrir pourquoi cette femme décide d'empoisonner des familles qui ne semblent avoir aucun point commun. Une enquête bien ficelée, qui a su me convaincre du début à la fin. Qu début je me suis légèrement ennuyé. La fin quand a elle es un peu trop rapide, il me reste une ou deux questions sans réponses. N'oublions pas de parler du style d'écriture J'ai adoré la plume de Nicolas Lebel : une écriture fluide et incisive. Une plume piquante et bien travaillé. Il a su me tenir en haleine tout le long de son roman, J’ai aussi aimé l'humour présent ici. Pour conclure
Quel plaisir de retrouver le capitaine Mehrlicht pour une nouvelle enquête de folie. J'ai aimé suivre l'enquête pour découvrir qui est cette tueuse en série et pourquoi cette femme empoisonne des personnes, qui ne semblent rien avoir en commun. Un thriller bien ficelé, avec de l'action, du suspense, des mystères et des rebondissements.
les +
* L'histoire en elle-même est très bonne. L'enquête est captivante. C'est bien pensée. Un réel page turner qui possède tout ce que j'aime dans un thriller.
* Je me suis encore plus attaché aux personnages. J'ai adoré leur personnalité encore plus aboutie au fil des tomes. Ils sont bien travaillés, profond et intéressant.
* Je suis une adepte de la plus de Nicolas Lebel. C'est additif, fluide, rythmé, piquant très visuel et drôle.
Les - :
* Le début était légèrement ennuyeux. C'est un peu long à démarrer.
* La fin est un peu trop abrupte. Il me reste quelques questions sans réponses.
Une Citation pour se faire une idée de la plume !
Un couple passa devant eux. Les visites devaient être terminées ; l’hôpital libérait les bien portants mais gardait les malades. Le médecin observait le policier. Il examinait la peau de son visage, jaunie par une longue tabagie. Le teint était cireux, preuve d’un trouble circulatoire. Des rides étaient apparues précocement, après la dégradation progressive des fibres élastiques. Les yeux grands et noirs étaient rougis et larmoyants, avec un gonflement caractéristique des paupières. Les dents étaient d’un jaune orangé, signe probable d’une maladie parodontale ou gingivale.