Okay, je ne sais pas pourquoi je vous en refais une chronique. C’est la troisième fois ! Parce que, je ne trouve pas ça juste par rapport à Karen & Tom ( la première fois que j’ai été deux / La seconde moitié de mon cœur ). Mais bon, avec Karen & Tom, je me rattraperais lors de la sortie du T.3 !
J’ai un amour déraisonnable pour cette histoire ! Je vous jure ! Je l’ai relu pendant le premier confinement, je le relis maintenant et plus je le relis, plus je l’aime et plus je l’aime, plus je veux le relire. Cercle vicieux, bonjour ! xD
Quoique – de vous à moi – ça ne me dérange absolument pas !
Parce qu’en fait, « Parfums d’Amour », ce n’est pas qu’une histoire d’amour impossible entre Mimosa et Court, c’est aussi l’histoire de leurs parents ! Eh oui ! On a d’un côté la mère de Mimosa et, de l’autre celle de Court : Alice.
C’est vrai que je n’y avais pas fait attention, mais les parents généralement, ils sont très peu mis en avant dans la lecture jeunesse et là, c’est tout le contraire. Ils sont présents tout le temps, et si nous ne les voyons pas, ils sont présents dans leur esprit. Et ça, c’est très cool ! D’autant plus qu’on s’intéresse à leur vie sentimentale. Et pour un ado, c’est un peu gênant… Normalement ! Or, là pas du tout !
Court, il a 17 ans et ses parents viennent de divorcer… Forcément, ça le perturbe un peu, mais il est plus triste pour sa mère que pour lui. Parce que lui, il va s’en remettre, mais elle ? Alors, il s’est donné pour mission de la protéger. C’est sans compter sur Mimosa qui à cause d’une boulette, va « mettre en péril » cette mission.
Mimosa, elle, a un an de moins que Court. Elle n’y a jamais vraiment fait attention, parce qu’en tant qu’aromaticienne, elle ne peut pas avoir de copain. Cela fait parti du Règlement. Mais, vous savez ce qu’on dit : une règle, c’est fait pour être enfreinte… Mais ce n’est pas si simple… Parce que si une règle peut-être enfreinte, Mimosa a tout de même une « épée Damoclès » au-dessus de sa tête : sa Mère. Et sa Mère est trèèèèèèèèèèèèès à cheval sur le Règlement. Mimosa l’admire autant qu’elle a en « peur ».
La mère de Mimosa et celle de Court, sont très différentes : l’une est très réservée, l’autre est très démonstrative. Mais leur point commun est qu’elles aiment leurs enfants ! Bien plus qu’elles ne le montrent.
De ce fait, lorsque Mimosa fait la boulette du siècle, elle met un point d’honneur à la réparer toute seule, enfin, comprenez : sans l’aide de sa Mère. Parce qu’elle ne pourra pas se débrouiller seule. À bien y réfléchir, elle aurait pu demander de l’aider à n’importe qui. À Kali, par exemple, sa meilleure pote. Mais non, elle décide de demander de l’aide à Court : LA personne qu’elle devait à tout prix éviter. Parce que c’est un garçon. Parce qu’il y a Vicky, son ex, qui est prête à tout pour le reconquérir. Mais bon, nous ne sommes mettre de notre Destin que dans une certaine limite. Et quand il n’y a pas d’atomes crochus : rien ne sert de forcer !
Cet événement imprévu va les rapprocher, et Mimosa a très peur de ce rapprochement. Parce qu’il y a sa Mère. Parce qu’il y a le Règlement. Parce que c’est la première fois qu’elle parle à un garçon de son âge… Parce que c’est la première fois pour tout… Bref, cette boulette du siècle, va constituer, chez elle un très grand changement. Ce qui lui fait peur aussi, il faut reconnaître ! Elle va aussi se remettre en question – une grosse remise en question, même ! Comme c’est la première fois qu’elle teste les choses par soi-même, c’est normal qu’elle se demande qui elle est réellement, qu’est-ce qu’elle veut faire réellement… Tout ça, tout ça.
Ainsi Mimosa part en quête d’elle-même, du Monde et du véritable sens de l’Amour. Tout un programme pour une adolescente qui connaît très peu de choses, finalement !
Bref, c’est à lire et à relire !