Pour résumer:

Foggy Island, Écosse.La Royal Special School, tout le monde en dit le plus grand bien. Pourtant Rose, qui vient d’y faire sa rentrée, est sur ses gardes. Son grand frère, ancien élève, l’a prévenue : « la Royal, c’est l’enfer ! ». Rose s’interroge : la colère de Marcus est-elle liée à la disparition inexpliquée de son ami Niven, dont tout le monde refuse de parler ?De son côté, Virginia, jeune apprentie cuisinière, fait d’étonnantes rencontres qu’elle attribue d’abord à son imagination débordante. Qui sont ces drôles de personnages qui rôdent dans les couloirs ?Bravant pièges, punitions, trahisons, Rose et Virginia vont tenter de percer les sombres secrets de la Royal Special School…

Ce que j’en pense:

Ce roman que les éditions Gulf Stream a eu la gentillesse de m’envoyer est le premier tome (et j’espère pas le dernier) de la série Royal Special School. 

Nous voilà donc plongés en pleine école britannique, plus précisément en Ecosse. La Royal Special School a une réputation irréprochable et Rose y fait sa première rentrée. Dès les premiers instants, on s’attache à ce personnage qui va devenir la principale protagoniste du roman. Très stressée à l’idée de rentrer dans cette nouvelle vie, elle va essayer de se faire des amis mais aussi de prendre ses marques. Très vite, elle rencontre Virginia, une jeune apprentie cuisinière, qui va devenir son amie mais aussi sa complice. Il faut dire que l’école recèle bien des mystères que les deux jeunes filles sont bien décidées à résoudre.

L’histoire est prenante, voire passionnante. J’ai littéralement libéré ce roman et je n’ai qu’une hâte, découvrir le tome 2. Ce premier tome, ouvre donc avec brio le début d’une série qui s’annonce pleine de mystères, de suspens et de rebondissements.

Le tout est accompagné de superbes illustrations qui sont en noir et blanc et rappelle un peu l’univers de Tim Burton. Au- delà d’une belle histoire, c’est donc également un bel objet qui s’offre à nous.

Je tiens à remercier les éditions Gulf Stream pour leur confiance.

Ma chronique en vidéo: