Autrice: Liane Moriarty
Maison d'édition: France loisirs/ Albin Michel
Genre: contemporain
Prix:22,90€
Pages: 400
Date de 1er édition: 2020
Résumé Trois sœurs, une complicité sans faille.Impétueuses, attachantes, les triplées sont animées par un doux grain de folie. Une famille en apparence parfaite.Lyn est une superwoman d'aujourd'hui, comblée mais débordée. Gemma rêve d'amour mais pas d'engagement. Quant à Cat, entre espoirs de maternité déçus et secrets conjugaux, elle est en pleine remise en question.Le soir de leurs 34 ans, une parole malheureuse et la fête tourne mal.Quelle vérité indicible a pu si brutalement faire basculer la belle entente des triplées ?
J'ai apprécié ce roman. C'est à la fois drôle, prenant, palpitant et intéressant. Je suis passée par mille émotions. C'est en apparence une simple histoire de vie, mais elle regorge de mystères, il y a des sujets de fond intéressants et bien traités. Vous ne risquez pas de vous ennuyer avec les Kettle. J'ai adoré suivre leur vie. C’était passionnant de découvrir le pourquoi du comment les trois sœurs en étaient venues à une dispute aussi violente.
Les + : * L'histoire en elle-même est agréable à lire. J'avais très envie de savoir les tenants et aboutissants. Une histoire de vie qui apporte son lot de mystères et de rebondissements. J'avais hâte de savoir ce qui c'était vraiment passé !
* Coup de cœur pour les personnages ! Trois sœurs semblables mais aussi tellement différentes. Je me suis beaucoup attachée à elles !
* Le style d'écriture simple mais efficace. J'ai réussi à ressentir de nombreuses émotions. L'alternance de point de vue apporte un vrai plus au roman et augmente le mystère.
Les -:
* Un début un peu long et quelques longueurs.
* Je n'ai pas était emballé par les chapitres sur les personnes qui ont croisé les triplettes.
Une Citation pour se faire une idée de la plume !L’une a dit que c’était fabuleux d’être une triplée. Elle trouvait ça génial ! L’autre, que c’était horrible. Elle avait l’impression d’être une espèce de mutante. Et la troisième a dit que ça n’avait rien d’extraordinaire, il n’y avait pas de quoi en faire un plat, c’était comme dans n’importe quelle autre famille.