L'homme qui courait sa vie
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Résumé de L'homme qui courait sa vie :
" La ligne d'arrivée du semi-marathon auquel Martin participe chaque année est proche. Une fois franchie, il retrouvera la routine d'une vie qui lui échappe. Alors, malgré le caleçon trempé de sueur qui le démange à l'entrejambe, Martin continue de courir. Tant pis s'il ne sait pas où il va. Après tout, ce n'est pas la destination qui compte, mais la manière de s'y rendre... "
Mon avis :
C'est avec joie que je retrouve un roman de Luca. Il le sait, je ne peux lui résister, à chaque fois qu'il me propose une nouvelle lecture de son cru. J'ai même abandonné une lecture en cours, juste pour lui... C'est pour dire ! Eh non, il ne me paie pas pour écrire tout ça. Allez, soyons sérieux, et venons-en au livre.
Je n'ai pas envie d'être sérieuse car le roman m'a fait rire du début à la fin. Pourtant, le sujet est grave ! Si si, je vous assure. Un homme complètement paumé par l'annonce peu sympathique de sa femme après vingt ans de mariage ! Comment le supporter, même si de prime abord, l'homme ne m'a pas paru des plus sympathiques.
Qu'on le trouve sympa ou non, on ne peut que avoir mal pour lui. Il m'a fait de la peine, directement. Et au fil de sa course, on apprend à le connaitre, comme lui réussit, au fil de ses rencontres, à faire un point sur sa vie. Une introspection qu'il s'impose au fil de ses pas, sans tout mettre sur le dos de sa femme. Chacun a ses torts. mais quand même, elle en a plus que lui. Normal, non ?
A travers tous les conseils que chaque rencontre lui porte, enfin presque, il avance dans sa course, jusqu'à l'épuisement, mais aussi dans sa vision de la vie, de sa vie. Tout est écrit de façon à nous faire sourire, rire même. Rien de morose, bien au contraire.
Alors, envie de rire tout en ayant une réflexion sur la vie, sur notre vie ? Notre routine de vie ? Ce livre est fait pour vous, vous ne le regretterez pas.
Note pour l'auteur :
La prochaine fois, pense que je lis aussi pendant la classe (pas à mes élèves, rassure-toi), mais quand même ! Madame qui ne coucha pas, parce que plus souvent... bref, tu sais la suite... C'est pas sérieux !