Belle est une jeune femme vive: intelligente, ingénieuse, impatiente. Curieuse, elle n’aspire qu’à échapper définitivement à son petit village. Elle veut explorer le monde, malgré les réticences de son père à quitter leur chaumière, au cas où la mère de Belle reviendrait – une mère dont elle se souvient à peine.
Mais Belle est surtout la prisonnière d’une bête effrayante et colérique – et c’est son principal souci. Pourtant, quand Belle touche la rose enchantée de la Bête, des images étranges la submergent, des images d’une mère qu’elle pensait ne jamais revoir. Plus étrange encore, elle réalise que sa mère n’est autre que la belle enchanteresse qui, jadis, a maudit la Bête, son château, et tous ses habitants. Sous le choc, Belle et la Bête doivent s’unir pour percer le sombre secret autour de leurs familles – un secret vieux de vingt et un ans.
Ceci n’est pas l’histoire de la Belle et la Bête telle que vous la connaissez. C’est une histoire de famille. De magie. D’amour. Une histoire où un seul détail peut tout changer.
Il n’y a pas d’aventures sans risques. Tu ne pourras jamais vivre si tu as peur de l’échec.
Depuis le temps que ces romans me faisaient très envie, je me suis enfin lancée. Et forcément, j’ai pris un de mes Disney préférés : La belle et la bête.
Belle est une jeune femme très cultivée et qui a soif de découvrir le monde. Lorsque son père disparaît, elle part à sa recherche. C’est alors qu’elle va se retrouver dans un château oublié de tous. Cet endroit est dirigé par une Bête et des objets vivants. Belle va sauver son père en devenant elle-même la prisonnière de la Bête. Elle va découvrir que ce monstre était avant tout humain et surtout le Prince de son village. Il a été maudit par une Enchanteresse qui n’est autre que sa propre mère qu’elle n’a jamais revue.
Dès le début j’ai eu l’impression de voir le dessin animé défiler sous mes yeux. L’auteur a repris les éléments principaux de l’histoire. Les 3/4 du roman sont sur des faits que nous connaissons déjà. La nouveauté, c’est surtout la partie du la mère de Belle. On découvre sa rencontre avec Maurice, la femme qu’elle était et pourquoi elle a maudit le Prince. Ces passages étaient très intéressants et rafraîchissants. Cela donne un autre angle à l’histoire. Cependant, hormis les passages avec la mère de Belle, je me suis vite rendu compte qu’il n’y avait pas tant de nouveauté dans cette réécriture. C’est surtout vers la fin que l’auteur a mis le paquet pour s’éloigner du récit original de l’histoire.
J’ai eu l’impression que cette réécriture de comte avait toute son importance vers les 50 dernières pages, ce qui est dommage. J’ai passé un bon moment de lecture mais je me rends compte que j’ai été quelque part déçu. Je m’attendais à vraiment découvrir une nouvelle histoire de mon Disney préféré. Finalement, sur tout le roman, seul le dernier quart m’a vraiment surprise et beaucoup plu. J’avoue cependant que je m’attendais à une autre fin et que celle-ci est un peu ouverte selon moi ce qui n’est pas ma tasse de thé.