Publié aux éditions Les Escales, 2021, 412 pages. Depuis son retour à Sosúa, en République dominicaine, Ruth se bat aux côtés d'Almah pour les siens et pour la mémoire de sa communauté, alors que les touristes commencent à déferler sur l'île.
Gaya, sa fille, affirme son indépendance et part aux États-Unis, où Arturo et Nathan mènent leurs vies d'artistes. Comme sa mère, elle mène son propre combat à l'aune de ses passions.
La tribu Rosenheck-Soteras a fait sienne la maxime de la poétesse Salomé Ureña : " C'est en continuant à nous battre pour créer le pays dont nous rêvons que nous ferons une patrie de la terre qui est sous nos pieds. " Et voilà, c'est la fin! La fin d'une saga familiale que j'aurai suivi avec passion. Catherine Bardon nous livre ici son dernier tome avec Un invincible été , une ode au soleil, à la joie, aux retrouvailles. Ruth et sa famille m'ont une fois de plus accueillie à bras ouverts: Almah, Domingo, Gaya. J'ai tellement aimé les suivre une nouvelle fois, un peu comme des cousins et des cousines, des oncles et des tantes. Catherine Bardon a le don de nous réunir dans cette grande fête de famille. On s'y sent bien, comme si on l'avait quitté la veille. Une fois de plus je suis conquise par la magie de ses mots, par cette histoire de famille à la fois simple et extraordinaire. J'avoue avoir versé ma petite larme en refermant ce tome. J'ai eu un petit pincement au cœur à l'idée de quitter ces personnages merveilleux et ces paysages fantastiques. Mais tout a une fin et il faut bien l'accepter même si c'est dur... On retrouve dans ce tome Nathan, le danseur de ballet mais aussi Gaya. Ces deux-là prennent des trajectoires auxquelles je ne m'attendais pas vraiment. Certaines espoirs sont douchés, certaines aspirations deviennent concrètes. Les personnages de Catherine Bardon réussissent parfois, échouent souvent, comme dans la vraie vie mais se relèvent toujours. Et que dire d' Almah , ce pilier de la saga? Un personnage que je n'oublierai sans doute jamais. J'ai beaucoup appris avec ce roman, j'ai ri, j'ai pleuré et c'est une saga que je n'oublierai pas avant longtemps. Comme le dit si bien Catherine Bardon, " Ne cherchez pas à savoir où est la réalité et où est la fiction. Car dans cette histoire tout est vrai. " La boucle est bouclée. Merci pour ces merveilleux moments...
Gaya, sa fille, affirme son indépendance et part aux États-Unis, où Arturo et Nathan mènent leurs vies d'artistes. Comme sa mère, elle mène son propre combat à l'aune de ses passions.
La tribu Rosenheck-Soteras a fait sienne la maxime de la poétesse Salomé Ureña : " C'est en continuant à nous battre pour créer le pays dont nous rêvons que nous ferons une patrie de la terre qui est sous nos pieds. " Et voilà, c'est la fin! La fin d'une saga familiale que j'aurai suivi avec passion. Catherine Bardon nous livre ici son dernier tome avec Un invincible été , une ode au soleil, à la joie, aux retrouvailles. Ruth et sa famille m'ont une fois de plus accueillie à bras ouverts: Almah, Domingo, Gaya. J'ai tellement aimé les suivre une nouvelle fois, un peu comme des cousins et des cousines, des oncles et des tantes. Catherine Bardon a le don de nous réunir dans cette grande fête de famille. On s'y sent bien, comme si on l'avait quitté la veille. Une fois de plus je suis conquise par la magie de ses mots, par cette histoire de famille à la fois simple et extraordinaire. J'avoue avoir versé ma petite larme en refermant ce tome. J'ai eu un petit pincement au cœur à l'idée de quitter ces personnages merveilleux et ces paysages fantastiques. Mais tout a une fin et il faut bien l'accepter même si c'est dur... On retrouve dans ce tome Nathan, le danseur de ballet mais aussi Gaya. Ces deux-là prennent des trajectoires auxquelles je ne m'attendais pas vraiment. Certaines espoirs sont douchés, certaines aspirations deviennent concrètes. Les personnages de Catherine Bardon réussissent parfois, échouent souvent, comme dans la vraie vie mais se relèvent toujours. Et que dire d' Almah , ce pilier de la saga? Un personnage que je n'oublierai sans doute jamais. J'ai beaucoup appris avec ce roman, j'ai ri, j'ai pleuré et c'est une saga que je n'oublierai pas avant longtemps. Comme le dit si bien Catherine Bardon, " Ne cherchez pas à savoir où est la réalité et où est la fiction. Car dans cette histoire tout est vrai. " La boucle est bouclée. Merci pour ces merveilleux moments...