Bonjour tout le monde !!

J’espère que vous allez bien en cette belle journée. Pour ma part le fait de pouvoir travailler dans mon jardin suffit à me rendre heureuse. Je sais il ne m’en faut pas beaucoup, au moins je peux me satisfaire de peu de choses Après un mois de pluie quotidien, le soleil ne peut que faire du bien, les oiseaux chantent et moi j’ai mon jardin pour moi toute seule. D’ailleurs c’est d’ici que je vous écris cet article

Je vous retrouve pour vous parler du tome 2 La théorie de la contorsion écrit par Margaux Motin. C’est une bande dessinée qui se lit assez rapidement. Je vous met le lien de ma chronique du tome 1 juste ici : J’aurai adoré être ethnologue, tome 1, Margaux Motin.

Résumé :

Auteur : Margaux Motin

Genre : Humoristique

Édition : Marabout (Marabulles)

Année : 2010

Nombre de pages : 161 pages

Fait partie de la saga J’aurai adoré être ethnologue

Je suis quelqu’un d’assez souple, dans la vie, en général. J’veux dire, je m’adapte à peu près à toutes les situations. Mais dès qu’on essaie de me ranger dans des cases et de me coller des étiquettes, je suis trop nombreuses, on fait des crises de claustrophobie. C’est mauvais pour mon teint et en plus, après, je digère mal. Je veux bien être « Mère », ça me va. « Illustratrice », c’est cool. « Fiiiile », ça me satisfait, de toute façon, si je devais faire pipi debout, j’arrêterais pas de saloper mes godasses. Mais je ne peux pas être que ça, tout le temps. Je veux être libre d’être toutes les femmes que j’ai envie d’être, même celles auxquelles j’ai pas encore pensé, même celle que je ne pensais pas vouloir être y’a cinq minutes. Et ça me semble évident que ça serait archi pas écologique tout le papier qu’il faudrait pour coller des étiquettes à toutes ces bonnes femmes… Donc autant nous laisser courir toutes nues dans les champs de pâquerettes.
CQFD.

Mon avis :

Si vous avez lu ma chronique du tome 1, vous savez que je n’avais pas trop apprécié. C’est une trilogie et j’avais tout emprunté à la bibliothèque donc je voulais quand même voir ce que donnait la suite. De plus, j’aime énormément le travail de Margaux Motin sur Instagram donc j’étais intriguée.

Les tomes sont indépendants les uns des autres, le seul lien est qu’étant donné qu’ils racontent sa vie autant avoir la bonne chronologie des faits. Par respect pour le travail de l’auteur, je ne vous montre pas de planches mais nous sommes sur la même organisation que le 1. Parfois un dessin prend la page entière, d’autres s’étalent sur plusieurs pages.

J’admets avoir préféré ce tome au premier. Je m’y suis plus retrouvée, il y avait un peu moins de vulgarités à tout bout de champ. Margaux y raconte sa vie de femme, de compagne, de shopping addict, sa relation avec sa mère, sa vie de trentenaire où elle croque plus ou moins la vie à pleines dents.
Je n’ai pas 30 ans mais ce qui est raconté ressemble à ce qu’on entend parler, donc c’est intéressant à voir. Le résumé nous laisse un avant-goût justement dosé de sa perception de la vie. Elle veut être une femme qui ne rentre dans aucune case, elle veut être toutes les femmes, toutes les facettes sans rendre des comptes à autrui. Elle veut tout expérimenter, tester, concevoir, aimer et être. Elle veut Vivre avec un grand V. Je pense que de nombreuses personnes s’y reconnaîtront et apprécieront cette BD aux dessins raffinés.

La théorie de la contorsion est une bande dessinée écrite par Margaux Motin où elle y raconte sa vie de femme trentenaire. Les illustrations sont douces et permettent une bonne immersion dans son quotidien. Je vais rapidement aller lire le tome 3.

Et vous, vous avez lu cette bande dessinée ? Si oui, qu’en avez-vous pensé ? N’hésitez pas à me dire tout cela dans les commentaires

Je vous souhaite un très bon week-end et je vous retrouve la semaine prochaine pour de nouveaux articles

Laure