Auteur : K.Bellatrix
Titre : Les tenebres d’orcus
Date de parution : 28 juillet 2020
ASIN : B08DRQVVJ3
Format kindle
Son envie dévorante d’écrire, son aversion pour l’injustice et ses années passées dans la police lui ont donné envie de se lancer dans l’aventure de l´écriture, qui a commencé en 2016, année de la sortie de son premier livre, un roman policier, publié dans une maison d´édition, sous son nom.
Pour la sortie de son premier thriller : « Les Ténèbres d’Orcus », K. Bellatrix a choisi un pseudonyme, en référence à la constellation d’Orion, pour permettre au lecteur de découvrir une histoire et de déconnecter le livre de l’auteur.
K. Bellatrix écrit également des nouvelles: vous pouvez découvrir « Trahison », également disponible en anglais, sur Amazon.
Les Ténèbres d’Orcus a remporté le Prix des Lecteurs Librinova 2020.
La sortie de son prochain roman est prévue pour l’été 2021.
Après avoir vécu dix ans dans les Yvelines, K. Bellatrix vit aujourd’hui en Suède, dans la région de Stockholm.
source : librinova
4eme de couverture :
Rillon-en-Montagne est un village tranquille et isolé du Morvan. Chacun y mène une vie paisible, en apparence.
Mais certains habitants protègent un vieux secret.
Dans la forêt communale, le corps d’un homme décapité est découvert. Sylvain Chevrillon et son adjoint, gendarmes à la section de recherche de Dijon, mènent l’enquête.
Chevrillon décide de s’immerger dans la vie des villageois, où chacun garde un œil sur son voisin. Il investit l’univers des chasseurs afin de mieux cerner la personnalité des suspects. Il découvre un monde à l’opposé de ses principes de vie, inhospitalier, secret, n’acceptant pas l’intrusion de cet enquêteur orgueilleux aux idées préconçues.
Mon Resumé :
Si on me demandant comment j’ai connu ce roman, je crois que je serais bien incapable de le dire, mais je sais que sa découverte m’a marqué au point de vouloir le lire, même si je savais que ce ne serais surement pas des sa sortie. Et voila, enfin je m’attelle à sa lecture.
Je ne comprends pas qu’on ne connaisse pas plus l’auteur car ce thriller vaut largement le coup qu’on s’y arrête.
Le vent s’est remis à souffler.
La lune s’est cachée derrière d’épais nuages.
Les éléments s’agitent, comme s’ils sentaient que la mort rôde.
Elle électrise les consciences, et ce n’est pas fini.
Des le début du roman le décor est planté, nous sommes dans la France profonde et Une série de crimes sanglants et barbares à été perpétré dans le village de Rillon-en-Montagne. Ici,nous ne parlerons pas des hautes juridictions policières parisienne du 36 bien entendu puisque l’enquête est remise à Sylvain Chevrillon et son adjoint, gendarmes à la section de recherche de Dijon.
Avec sa lampe torche, il éclaire le sentier qui le ramène sur la route. Mais le terrain ne l’entend pas ainsi. Il glisse sur les pierres. La boue aspire ses chaussures, chaque pas est un effort. Les rafales de vent le déséquilibrent. Penché en avant, il a l’impression de gravir une montagne…
Le corps d’un homme décapité et éviscéré est découvert dans la forêt communale, dans un endroit inaccessible, sauf pour les chasseurs de sangliers, rompus à cette nature sauvage. Chevrillon et Arango doivent enquêter auprès des villageois aussi inhospitaliers que le climat. Dans ce village de 200 âmes tous le monde semble vouloir se protéger et pour ainsi dire personne n’est coupable mais en même temps chacun méprise et se méfie de l’autre !
Mon avis :
J’ai trouvé que ce livre est tellement bien conçu qu’il pourrais facilement être adapté au cinéma. On sent bien ce climat oppressant dans ce village isolé du monde, ses habitants vivants reclus. On ressent l’humidité et le froid de ce village de montagne un peu a la manière d’un thriller télévisé. Vraiment je me suis senti intégré dans cette histoire en huis clos. Bref, que du bon.