"Je suis restée parce que je suis déjà morte. Je suis morte le 24 janvier 2012 peu après minuit dans le souterrain d'une gare. C'est pour ça que j'ai rompu. Tu es vivante, contrairement à moi. Ce que mon corps subit ne m'atteint plus. Une morte ne souffre pas, une morte ne ressent rien."
Que dire sinon que je ne connais pas Magali Collet personnellement mais que je la trouve lumineuse. Aussi lumineuse que ses romans sont sombres.
J'avais adoré la noirceur de (<CLIC) et Les Yeux d'Iris n'a rien à lui envier.
Meurtre, suicide, apparences et faux-semblants, pacte entre amis, victimes et prédateurs sont au menu de ce thriller porté par un sujet fort et des passages poignants qui vous prennent carrément aux tripes.
Accrochez-vous bien aux pages, un voyage aux tréfonds de l'âme " humaine " que vous n'êtes pas prêts d'oublier...
(Livre reçu en service de presse)