J’étais impatiente de découvrir ce qui se trouvait derrière la force tranquille de Romeo et que dire … On flirte avec le coup de
Un grand merci à Kentin Jarno pour le service presse
Et s’il était temps de vous libérer ?
De quoi ça parle : Une romance sexy, atypique et envoûtante.
À l’université de Yale, les quatre Wingmen of the Apocalypse sont les rois du campus.
Romeo, le gentleman du groupe, intrigue tout le monde avec son flegme et ses sourires mystérieux. Inaccessible, ténébreux, insaisissable… avec de tels atouts, elles sont toutes à ses pieds. Et s’il n’était rien de plus qu’un garçon paumé et désabusé après avoir signé un pacte avec le diable ? Du genre pipelette et joviale, Nadia a l’habitude d’être invisible aux yeux du monde et se retrouve perpétuellement reléguée à la friendzone avec les mecs. Jusqu’au jour où elle décide de prouver ce qu’elle vaut et de sortir de l’anonymat. Et pour ça, quoi de mieux qu’approcher le diable et se plier à ses désirs, dans l’espoir de signer un pacte avec ? Des chemins différents, une quête commune. Et vous savez ce qu’on dit : les ennemis de nos ennemis sont nos amis. Enfin, il paraît. Ça se fait, vous croyez, d’embrasser ses amis avec la langue ?
Ce que j’ai aimé … ou pas … : Je vous le dis de suite, je ne vous révélerai rien du secret de Romeo (sadique est mon second prénom
Avis : Émotionnellement parlant, cette lecture ne vous laisse pas réellement de répit. Nadia et Romeo ont des fêlures à cause de leur famille. Nadia est inexistante. Si elle tente de se faire remarquer, d’emmener la conversation vers ses choix, ils sont balayés par une partie de jeux de société. Seul Jude, son adolescent de frère semble remarquer son trouble. Romeo, quant à lui, tente d’étouffer le sentiment d’infériorité dont lui-seul semble être conscient. Pourtant, on a l’impression qu’il ne manque de rien, il est au top de la mode, s’entend parfaitement avec sa mère et son frère (même s’il n’est pas prêt à se confier), mais cela se corse avec son beau-père (je vous laisse approfondir tout ça). Très vite, on comprend que ce sont ces relations “toxiques” qui ont emmené nos deux protagonistes à faire des choix, peut-être pas très judicieux. Si je ne m’attendais pas du tout à la révélation de Romeo, j’ai été triste pour lui. Triste, qu’il ait honte, alors qu’il n’a pas de raison d’avoir peur du jugement des autres (mais c’est plus facile à dire qu’à faire). Triste de la solitude qu’il a instauré avec ses meilleurs amis. Alors oui, il interagit avec eux, participe aux fêtes, mais il ne peut pas réellement souffler. Il est tellement englué dans ses problèmes, qu’il ne sait plus vers qui se tourner. Il a bien cette petite nana qui le bouscule, qui lui donne envie de tout arrêter pour ne plus avoir à mentir, mais le jugement des autres l’effraie. Alors il n’ose pas vraiment et quand enfin, il compte avancer, son passé se rappelle à lui. Nadia est prête à tout pour briller au sein de sa famille, quitte à s’oublier un peu en rejoignant les AU-DAC-ES. Si elle compte tout faire pour passer les épreuves, certaines se révèlent plus difficiles que d’autres, surtout quand certaines personnes pourraient souffrir à cause d’elle… Grâce à Romeo, on met un pied chez les Apocalypsis, on les découvre un peu plus au quotidien. Je l’avoue, si j’ai hâte de découvrir la vraie signification des initiales de PJ, j’ai surtout hâte de découvrir ce qui tourmente Caleb
@ très vite entre deux chapitres