Auteur : Nicolas Lebel
Titre : La capture
Date de parution : 23 mars 2022 – Edition J.C. Lattès, Le Masque
EAN : 9782702450772
Version numérique protégée
Fiche du livre sur goodreads
4eme de couverture :
Morguélen. Un nom funèbre pour une île bretonne giflée par les vents.
Un terrain idéal pour la lieutenante Chen, lancée dans une traque sans merci. Dans son viseur : des tueurs à gages insaisissables, les Furies, déesses du châtiment.
Mais à l’heure de la rencontre, la partie pourrait bien compter plus de joueurs qu’il n’y paraît. Et quand le prêtre de cette île du bout du monde entre à son tour dans la danse, une seule certitude demeure : quelqu’un va mourir.
Jeu de miroirs à huis clos, le nouveau roman de Nicolas Lebel entraîne le lecteur dans une course échevelée où tout n’est qu’ombres et reflets. Porté par l’humour et l’ingéniosité inégalables du lauréat du Prix des lecteurs du Livre de Poche, La Capture impose Nicolas Lebel comme l’une des voix les plus brillantes du thriller français.
Mon résumé :
Une île bretonne, un prêtre soupçonné d’être un criminel de guerre en cavale, des flics chargés de l’arrêter, Yvonne Chen de retour pour traquer les Furies, ce groupe d’assassins internationaux apparus dans Le Gibier…
Avec tous ces éléments pour le moins disparates, il offre non pas une partie minutieuse de Mikado mais un tournoi d’échecs dont il maîtrise tous les aspects.
Engagez un pion… et l’auteur l’a déjà prévu.
Lancez votre cavalier… et considérez-le comme déjà tombé aux mains de l’ennemi.
Dans sa tête, la partie est jouée : vous aurez beau vous accrocher à votre Fou, Lebel est déjà de retour dans sa chambre, desserrant sa cravate tout en se servant un Bourbon des familles et réfléchissant à la manière d’orchestrer encore plus efficacement son récit.
le lieutenant Yvonne Chen, déjà froide dans la première enquête mais encore plus déterminée ici depuis la mort de son coéquipier. Après Paris, on la suit sur l’île de Morguélen, un lieu plutôt hostile giflé par les vents. Chen est lancée à la poursuite des « Furies », des tueurs à gages qui ont emprunté leur nom aux furies grecques de la mythologie et qui désignaient des créatures avides de venger tout acte répréhensible.
Mon avis :
Autant j’ai adoré son roman precedent (Le gibier), autant pour celui-ci j’ai eu beaucoup de mal a entrer dedans. Peut-etre etait-il tout simplement pas fait pour moi, trop d’allusion aux criminels de guerre et avec des noms de personnages pas vraiment que je qualifierais d’assez particuliers mais qui semblent bien se marier avec l’ambiance de l’histoire malgré tout.