Elorna parvient à s’enfuir tant bien que mal pour repartir de plus belle à la recherche d’Adrian. Lui et Richard ne se parlent toujours pas (sauf avec les poings).
Je me rends compte que pour ceux qui n’ont pas suivi la série, ce résumé ne veut strictement rien dire. Je ne vois pas très bien comment je pourrais l’expliquer autrement, chaque épisode traitant d’une petite partie de l’aventure. Ce volume 8 est tout aussi chouette que les précédents. Même si je riais plus quand Marianne était là… (Bon, allez, les deux vieilles prostituées sont hilarantes.) Maintenant, ce nouveau cycle (commencé avec le 7) ne fait que débuter. Il faut un peu le temps de s’habituer aux changements subis par les personnages, et aux nouvelles arrivées. Je continue en tout cas avec un immense plaisir à lire cette série hors-norme tellement cinglée.
Balak, Sanlaville, Vivès, Lastman volume 8, Casterman, 2016