Sans rythme… pas de vie. Sans le rythme du cœur, pas de mise en mouvement… Toutes les traditions s’accordent : c’est par le geste juste que l’on s’inscrit dans ce rythme... C’est au son du Ney que tourbillonnent les derviches, accompagnés également par le luth et le rebab (violon à trois cordes). Et "leur danse aérienne, presque en apesanteur, défie les lois de l’équilibre et symbolise la ronde des planètes autour du soleil. Tout en répétant les 99 noms d’Allah, elle commence par une marche lente et solennelle, les bras croisés sur la poitrine. Puis, au fil du tournoiement, les bras s’envolent, et la tête, coiffée d’un long fez beige, se penche sur le côté… Par la paume droite, les derviches tourneurs captent la grâce divine, par le poignet gauche, ils la répandent sur la terre."
The post La Mélodie de la Connaissance (I) first appeared on L'Ombre du Regard.La Mélodie de la Connaissance (I)
L'auteur de l'article : Mélanie Talcott
Voir l'article originalJe ne vis ni à Gaza, ni en Somalie. Je ne connais de la guerre que le bruit télévisuel des bombes et de la mort, qu’une image figurée. La faim n’a jamais lâché sur moi ses loups. J’ignore son lent épuisement physique autant que mental, tout comme celui de la maladie qui vous ronge jusqu’à l’os. Je …