Le présent impossible - Dominique Ané
L'iconoclasteParution : 15/09/22Dessins : Edmond BaudouinPages : 128Isbn : 9782378803049Prix : 14 €
Présentation de l'éditeur
"J'ai chaque jour une idée plus nette de ce qui se perd en chemin"
Avec Le présent impossible, nous le découvrons poète.
On retrouve là son goût pour les paysages et le contemplation, son ironie et sa douceur, le regard lucide qu'il pose sur notre éopque.
Orfèvre des mots, Dominique A capte les instants fugaces avant qu'ils ne s'estompent.
L'auteur
Dominique Ané, dit Dominique A, est né en 1968. Auteur, compositeur, interprète, il est une figure de la chanson française. Le Présent impossible est son premier recueil de poèmes. Source L'iconopop
Crédit photo : Jérôme Bonnet.Mon avis
Premier recueil de poésie pour celui qui chante depuis 30 ans. Dominique A nous livre des textes sur le "présent impossible" comme s'il essayait de capturer l'instant. Ecrire pour prolonger le temps ?
Il évoque des lieux, un cercle, une ville détruite, une petite maison, le carrelage, le chat qui dort paisiblement, qui apaise face à la vie trépidante.
Nostalgie ! Un coup d'oeil dans le rétroviseur, le vide de nos vies, le temps qui passe.
Edmond Baudoin l'accompagne et met en image 3 jolis textes :
- La tristesse des villes imprime sur les gens dont la tristesse imprime sur les villes.- Chaque page tournée c'est souvent pour toujours.- J'ai chaque jour une idée plus nette de ce qui se perd en chemin.
L'écriture ! Il porte un poème, l'espoir, écrire, exister, laisser venir, écrire dans l'espoir d'un partage. Ecrire tout le temps, n'importe où, écrire entre les lignes. Ecrire tout simplement sans essayer de comprendre. Créer, exister.
C'est beau, à découvrir.
Les jolies phrases
Ligne de conduite
Pas prendrerecevoiret ne pas se retourner
J'ai chaque jour une idée plus nette de ce qui se perd en chemin
La tristesse des villes imprime sur les gens dont la tristesse imprime sur les villes.
Rien qu'à être
Sur mon cheminmille êtres vivantsque je vais sacrifier dans l'heurerien qu'à êtrerien qu'à marcher
Et comme j'écrisun insecte court sur ma feuille
Acquis
Je retiens peu des jours passéset je veux bienretenir encore moins
Mais qu'on n'en déduise pasque je n'ai rien appris
J'ai chaque jour une idéede ce qui se perd en chemin
L'iconoclasteParution : 15/09/22Dessins : Edmond BaudouinPages : 128Isbn : 9782378803049Prix : 14 €
Présentation de l'éditeur
"J'ai chaque jour une idée plus nette de ce qui se perd en chemin"
Avec Le présent impossible, nous le découvrons poète.
On retrouve là son goût pour les paysages et le contemplation, son ironie et sa douceur, le regard lucide qu'il pose sur notre éopque.
Orfèvre des mots, Dominique A capte les instants fugaces avant qu'ils ne s'estompent.
L'auteur
Dominique Ané, dit Dominique A, est né en 1968. Auteur, compositeur, interprète, il est une figure de la chanson française. Le Présent impossible est son premier recueil de poèmes. Source L'iconopop
Crédit photo : Jérôme Bonnet.Mon avis
Premier recueil de poésie pour celui qui chante depuis 30 ans. Dominique A nous livre des textes sur le "présent impossible" comme s'il essayait de capturer l'instant. Ecrire pour prolonger le temps ?
Il évoque des lieux, un cercle, une ville détruite, une petite maison, le carrelage, le chat qui dort paisiblement, qui apaise face à la vie trépidante.
Nostalgie ! Un coup d'oeil dans le rétroviseur, le vide de nos vies, le temps qui passe.
Edmond Baudoin l'accompagne et met en image 3 jolis textes :
- La tristesse des villes imprime sur les gens dont la tristesse imprime sur les villes.- Chaque page tournée c'est souvent pour toujours.- J'ai chaque jour une idée plus nette de ce qui se perd en chemin.
L'écriture ! Il porte un poème, l'espoir, écrire, exister, laisser venir, écrire dans l'espoir d'un partage. Ecrire tout le temps, n'importe où, écrire entre les lignes. Ecrire tout simplement sans essayer de comprendre. Créer, exister.
C'est beau, à découvrir.
Les jolies phrases
Ligne de conduite
Pas prendrerecevoiret ne pas se retourner
J'ai chaque jour une idée plus nette de ce qui se perd en chemin
La tristesse des villes imprime sur les gens dont la tristesse imprime sur les villes.
Rien qu'à être
Sur mon cheminmille êtres vivantsque je vais sacrifier dans l'heurerien qu'à êtrerien qu'à marcher
Et comme j'écrisun insecte court sur ma feuille
Acquis
Je retiens peu des jours passéset je veux bienretenir encore moins
Mais qu'on n'en déduise pasque je n'ai rien appris
J'ai chaque jour une idéede ce qui se perd en chemin