Résumé : Il n’a rien d’un prince charmant...Callum Griffin est l’héritier de la mafia irlandaise. Il est impitoyable, arrogant, et il veut me tuer.Nous sommes partis du mauvais pied, tous les deux, quand j’ai allumé un (tout petit) feu dans sa maison.Nos familles estiment qu’un pacte nuptial est le seul moyen d’empêcher une guerre ouverte.Je crois que je vais devoir l’assassiner dans son sommeil.Ce serait bien plus facile si Callum n’était pas aussi beau.Mais je protège mon cœur dans une boîte fermée à double tour. Parce que même si je suis forcée de l’épouser..Je ne pourrais jamais aimer un prince cruel.
Mon avis : Je continue mon parcours des Mafias : ici je découvre la mafia irlandaise et un chouia polonais. D’ailleurs, dans mon parcours de néophyte, l’autrice nous propose ici une contextualisation très intéressante sur la « hiérarchie » des mafias. Évidemment, ce n’est pas le cœur de l’intrigue, ici l’histoire porte sur la relation arrangée entre Callum Griffin, l’héritier de la mafia irlandaise et Aïda Gallo, fille d’un parrain de la mafia italienne de Chicago… Loin d’être prévues et attendues, leurs fiançailles ont été orchestrées après une énième boulette initiée par Aïda, c'était la seule solution pour éviter le bain de sang.
Callum Griffin a des airs de Cillian Fitzpatrick dans « The Villain » de L.J. Shen et de l’ambition politique de Wolfe Keaton dans « Le voleur de baisers » de L.J. Shen, c’est donc un personnage froid et explosif, loyal et distant.
Face à lui, nulle ne ressemble à Aida. J’ai eu peur de son immaturité dans les premières pages, mais c’est rapidement balayé par son assurance quand il est question des affaires familiales. Son sens de la répartie et à la hauteur de son indépendance vestimentaire : elle est rafraichissante dans le paysage des romances dans l’univers de la mafia.
Deux regrets au sujet d'Aida :
- c’est une coquille vide ! Elle n’a quasiment pas de vie en dehors de sa relation avec Callum. Je comprends l’idée d’avoir grandi de manière isolée à cause de sa famille, mais pour Nessa c’est kifkif et elle remplit la baraque pour son anniversaire. Cette paresse dans son arc narratif la rend moins palpable, dommage. Elle était à pas grand-chose de la perfection
- son âge ? Age gap tout ça, tout ça, je comprends, maaaais la franchement elle est à peine majeure, quand il a bien la trentaine. Je n’accroche pas, à l’image de Sinner love de Chlore Smys et Juliette Pierce.
Au plaisir.